LAZARUS
Poison
(Lazarus 16 à 21)
La famille Hock, en s’attaquant directement à Malcom Carlyle, a déclaré la guerre à tout ceux qui ne se sont pas rangés à ses côtés. Le patriarche Carlyle est dans le coma, alors que le poison semble inexorablement envahir tout son corps, ses enfants, légèrement dépassés par les évènements tentent de maintenir la cohésion entre les tout leurs alliés. Pendant ce temps là Forever est envoyée sur le front pour libérer une voie qui pourrait permettre aux forces Carlyle de renverser la situation…
Par fredgri, le 29 avril 2016
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782344015988
Notre avis sur LAZARUS #4 – Poison
Voilà, la guerre est lancée, et la série bascule soudain en situation de crise. Chaque scène est pratiquement tournée vers l’urgence, vers un dérapage qu’il faut endiguer. Et Greg Rucka est justement très à l’aise dans ce genre de récit. Il orchestre cette montée en puissance avec un brio exceptionnel, entraînant Forever sur les champs de bataille avec sa mini escouade, contre une armée de soldats particulièrement offensifs (même s’ils se font dégommer avec une facilité justement désarmante !). En parallèle, ils nous emmène dans les couloirs de l’hôpital privé de la famille Carlyle, autour du chef de famille alité qui se bat contre le poison qui le ronge de l’intérieur !
Toutefois, Rucka ne laisse pas non plus son récit principal de côté. Car on avance dans les relations de famille. Peut-être que Forever est cantonnée à son rôle de super guerrière (seule la fin semble vouloir revenir vers elle plus précisément !), mais c’est aussi ce qu’elle est fondamentalement dans cette série, une arme impitoyable, sans scrupule.
En attendant, le scénariste ne laisse pas la psychologie de côté, loin de là, il s’attarde sur ses personnages, il creuse ses caractérisations et même si c’est un tome plus testostéroné que d’habitude il n’en demeure pas moins que c’est captivant, on a du mal à s’arrêter du début à la fin, pris dans le très adroit méli mélo tissé par Rucka !
De son côté, Lark reste fidèle à lui même. C’est du bon boulot, même si je trouve qu’il limite beaucoup l’expressivité de ses personnages. Ce qui renforce le côté très froid de ses planches !
Mais en dehors de ça, Lazarus reste une excellente série, très agréable à suivre et extrêmement prenante !
Par FredGri, le 29 avril 2016
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