Le pêcheur de Rêves
La légende des Océnides

C’est l’histoire de Maël, un petit garçon, et dans sa famille ils sont pêcheurs de génération en génération ! Son grand-père a disparu et c’est très difficile pour celle-ci.
A 13 ans, son père décide que son tour est arrivé de prendre la mer, alors un matin il l’embarque bien malgré lui sur leur bateau.
Alors qu’ils parlent du grand-père de Maël, une tempête arrive.
Tombé par dessus bord, Maël rencontre très vite, sous l’eau, Naïa. Commence alors un merveilleux voyage aquatique jusqu’à l’évidente rencontre, les retrouvailles avec son grand-père.
Il découvre que le monde où vit désormais son grand-père est réel : le monde des Océnides.
Mais sont-ils vivants, sont-ils morts ? Là est le mystère.
Les parents de Maël le cherchent, ils sont inquiets, son papa joue des airs d’harmonica, l’harmonica de son père, le son arrive aux oreilles de Maël bien loin au fond de l’eau. Puis il y a ce terrible secret ! Le voyage initiale du grand-père ! Maël se découvre un autre lien familial !
Après un autre tremblement de terre, la porte de L’Hierria s’ouvre, le grand-père de Maël lui dit qu’il est temps pour lui de « repartir » dans son monde.
La fin rapporte Maël à sa maman, mais Maël n’arrive incroyablement pas seul !

Par vivirginie, le 4 mars 2024

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Notre avis sur Le pêcheur de Rêves #1 – La légende des Océnides

Le pêcheur de Rêves, la légende des Ocenides est un très bel album – conte. 

Par l’histoire déjà, j’ai tout de suite été embarquée dans ce voyage, puis par les illustrations. Maël est magnifiquement dessiné, ses traits sont fins. Naïa, toute bleue, l’est également. 

Tout ce monde aquatique est somptueux, les couleurs, les bleus sont si beaux, même les fantômes !

J’ai vraiment adoré l’histoire qui réunit ce petit garçon avec son grand-père, cela provoque de si jolies émotions, ces relations familiales si importantes. Les pages 57 – 58 ont une telle puissance. Puis ce secret, j’en avais les larmes aux yeux, qui apporte cette fin, celle à laquelle on ne s’attend pas de manière évidente, cette fin si délicate, très émouvante. La page 72 est d’une telle beauté ! 

Je recommande vraiment cet ouvrage d’Élodie Garcia. 

Par Vivirginie, le 4 mars 2024

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