Le petit monde de Kabocha

Depuis que son maître s’est installé à la campagne, la petite chatte Kabocha découvre les balades champêtres, la chasse et les mille et un dangers qui rodent autour de la maison…

Par fredgri, le 16 octobre 2024

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Notre avis sur Le petit monde de Kabocha

Ce petit manga aux intensions assez simples, finalement, pourrait presque se lire dans la continuité de Petite forêt du même auteur. L’auteur qui vivait jusque là en ville, vient de s’installer à l’écart, en pleine campagne, dans une maison isolée, entourée de champs, d’une forêt. Il a amené avec lui sa petite chatte Kabocha qui découvre alors le monde qui l’entoure, tout en laissant libre court à ses instincts de chasseuse.
Ainsi, l’homme observe l’animal qui s’adapte, qui s’aventure parfois assez loin, tandis que se dévoile à elle un univers qu’elle tente d’apprivoiser, tout en créant une nouvelle relation avec son maître.

Rien de bien exceptionnel donc dans ce volume qui se savoure lentement. L’écriture de Daisuke Igarashi est naturelle, attentive, elle s’arrête sur des détails anecdotiques qui viennent pourtant accentuer des ambiances de complicité avec la petite chatte, glissant deçi delà des moments assez drôles même, comme les parties « Kabocha contre moi », ou la minette essaye d’attirer son maître sur le toit…

Cela reste globalement assez léger, on est plus dans des tranches de vie sympathiques qui n’ont pas pour objectif de tout révolutionner, mais on passe un bon moment. D’autant qu’encore une fois, les planches d’Igarashi sont magnifiques, surtout celles en couleur directe, à l’aquarelle.

Un manga qui devrait plaire aux amateurs de chats, de vie à la campagne.

Par FredGri, le 16 octobre 2024

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