LEGENDAIRES (LES)
Aube et Crépuscule

C’est avec un bonheur égal et régulier (un nouveau tome sort tous les 6 mois) que j’ai retrouvé les héros de cette série que j’adore. Comme on en a pris l’habitude, le récit est bien construit, alternant avec bonheur l’action et l’humour.

Toutefois, ce nouvel opus est intéressant bien au-delà de ses qualités habituelles.

En effet, bien qu’elles n’en aient pas franchement besoin, les aventures de nos héros vont trouver un nouveau souffle avec ce 7ème tome. Dès le début, on assiste à un tournant important : la possibilité pour nos amis de réparer enfin leur faute. Y réussiront-ils ? Difficile de le dire, d’autant que quelque part, cela signifierait la mort de la série, ou alors sa réorientation vers autre chose (les Légendaires (re)devenus grands ! ^_^)
Mais franchement, on ne se pose la question qu’à tête reposée, bien après avoir tourné la dernière page.

Nouveauté également il y a dans l’équipe : une petite nouvelle va faire son apparition. Là encore, le lecteur s’impatientera de lire la suite : deviendra-t-elle un membre à part entière ? Est-elle vraiment une étudiante ou bien sa présence cache-t-elle de plus noirs desseins ? J’avoue que ce personnage est très intriguant, car elle va aider nos amis et dans le même temps se montrer très mystérieuse…

Enfin, le lecteur en apprendra un peu plus sur Gryf, ses origines, son peuple. C’était très intéressant, car je me suis toujours demandé comment étaient les Légendaires avant l’incident Jovénia. Bien sûr, on sait qu’ils étaient grands, admirés de tous, mais on ne connaît pas grand-chose de leur passé : les tomes précédents nous ont un peu éclairés sur les personnages de Danaël, Shimy et Jadina. Il est donc quelque part un peu logique qu’on s’intéresse à Gryf maintenant.

Quant aux dessins, ils sont toujours aussi réussis et donnent beaucoup de vie au récit. Les bouilles sont marrantes à souhait, et donnent des expressions inimitables aux personnages.

Si comme moi, vous êtes un fan de cette série, vous ne serez pas déçus !

Par PATATRAK, le 28 mars 2007