LES CAVALIERS DE L'APOCADISPE
En route vers l’aventure

Alors qu’ils assistent à un cours de maths rébarbatif, Olive, Jé et Ludo décident de sécher leur séance de gym de l’après-midi. Ils sortent de l’enceinte de leur école en direction d’un manoir décrépi avec l’intention de le prospecter. Mais leur escapade non justifiée va mal se dérouler.

Olive a décidé d’apporter à l’école un rat qu’il a trouvé dans la rue. Malheureusement, la bestiole a la fâcheuse manie de grignoter et même de voler des portefeuilles comme celui de Monsieur Dirac le professeur de maths. Comment le lui restituer ?

C’est le jour des élections des représentants des élèves. Olive est élu à la suite d’une malencontreuse proposition et n’a pas envie d’assumer son rôle tant il est peureux. Aussi, les catastrophes s’accumulent…

Par phibes, le 9 février 2024

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Notre avis sur LES CAVALIERS DE L'APOCADISPE #4 – En route vers l’aventure

La petite triplette formée par Olive, Jé et Ludo reviennent pour de nouvelles aventures « apocadispiques », toujours sous la houlette railleuse de leur créateur Libon. Pour la quatrième fois, les trois apprentis de la gaffe sont appelés à vivre à nouveau des moments rocambolesques à souhait.

C’est dans le cadre de l’école que nous retrouvons les trois jeunes trublions, certes peu enclins à suivre les cours dispensés mais assurément très volontaires quant à prendre un chemin parallèle. A la fois naïf et hardis, les trois cavaliers accumulent, dans les aventures qu’ils se créent, les bourdes les plus risibles et nous entraînent dans des pérégrinations avec leurs profs, les autres élèves et autres rencontres qui ne sont pas pour les rehausser.

Libon continue donc à s’amuser avec son trio, les plongeant dans des situations loufoques, poussées tout de même à l’extrême juste pour faire rire la galerie. L’on concèdera qu’il continue à faire mouche et ce, grâce à la simplicité des gags mis en avant, à la gesticulation puérile de ses petits personnages dont il maintient la spécificité des caractères et qui n’en finissent de provoquer des catastrophes.

Le coup de crayon reste le même, simple et efficace, prouvant que l’artiste maîtrise son univers graphique. Son style pour le moins naïf se veut particulièrement attachant et met en exergue des personnages qui le sont également. L’humour accompagne les pantomimes des trois petits lardons zoomorphes immergés dans des situations qui restent invraisemblables et qui ont le privilège de parler à tout le monde.

De nouvelles aventures « apocadispiques » perpétrées par trois petits personnages toujours aussi rigolos.

Par Phibes, le 9 février 2024

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