Les eaux blessées
Irina Vega travaille au Parlement Européen où elle est en charge de dossiers ayant trait à l’environnement. Dans les affaires qu’elle gère à ce moment-là, il en est une qui semble plus sensible que les autres : une affaire de pollution des eaux qui voit s’accuser mutuellement deux grandes entreprises de ce secteur d’activité… Une affaire qui se règlera sur le terrain autant que dans l’hémicycle strasbourgeois…
Par sylvestre, le 16 mars 2012
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9789282322055
Notre avis sur Les eaux blessées
Les eaux blessées est une bande dessinée brochée comptant 32 planches en couleurs et éditée par l’Office des Publications Européennes. Sa première parution date de 2002, mais on la trouve rééditée en 2007, forte d’avoir reçu, en 2003, le Prix Alph-Art de la Communication lors du Festival International d’Angoulême de cette année-là.
Comme d’autres titres proposés par l’Office des Publications Européennes (comme Rebonds et Coup de pouce également scénarisées par Rudi Miel), Les eaux blessées existe en dix langues différentes, toutes parlées dans l’Union Européenne et parmi elles le français.
Après les 32 planches de l’histoire, on trouve cinq pages d’un lexique apportant explications et précisions sur tous les termes spécifiques rencontrés dans la BD et ayant rapport avec le Parlement Européen et ses activités. Car en effet, l’intrigue comme l’action ne sont pas des plus haletantes dans cet ouvrage dont le but premier est plutôt avant tout de présenter au public les coulisses de certaines instances de l’Union Européenne et les missions de certains de ses fonctionnaires. Bien naturellement, le scénario ne va pas au fond des choses et n’est pas un exposé exhaustif… On reste donc dans le superficiel mais c’est l’intention qui compte, et comme c’est en images que tout cela nous est présenté, on ne fait pas la fine bouche et on suit Irina et son ami photographe dans leur traque de méchants pollueurs.
La BD au service de l’information, la BD comme outil pour intéresser les gens à "ce qu’il y a derrière tout ça". Belle initiative, qu’on ne peut que saluer !
Par Sylvestre, le 16 mars 2012
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