LILYMANDE
Termin'île
Sur Termin’île, Jarba et Ektor échappent de peu à la milice du tyran à leur poursuite, grâce aux rebelles, tandis que Lily se rend compte que son "frère" est en fait devenu complètement mégalomane et dangereux, et que sa folie va mener le monde à sa perte complète. Les rebelles ont élaboré un plan pour se débarrasser de l’androïde, mais ont besoin de l’aide de Lily et Orca, ils comptent sur Jarba et Ektor pour les convaincre. Jarba est perplexe, mais veut bien essayer. L’équipe arrive à pénétrer sous le dôme de la plate-forme pétrolière, mais la réaction de Lily n’est pas celle attendue. Elle plonge avec Orca. Sous l’eau, elle voit le module de Sireno et y rentre, dans le but de l’éliminer et récupérer les codes. Le sous-marinien ne se laisse pas faire et fait des révélations à Lily, des révélations de grande importance pour l’avenir des hommes, des révélations qui causent de grandes émotions à Lily, des révélations qui la mettent en face d’un choix difficile …
Par beuleu, le 1 janvier 2001
Notre avis sur LILYMANDE #3 – Termin’île
Voilà le 3° et dernier tome de la série Lilymande. Il apporte donc toutes les réponses aux questions qu’on se posait, avec des retournements de situation et des événements assez … surprenants. Cela m’a d’ailleurs énormément déstabilisée, certains éléments n’étant pas vraiment crédibles. Cela a beau être de la SF, il y a des données "volumétriques" improbables. Ça me gène et me déçoit, et me laisse un sentiment mitigé en fin de lecture, mon esprit cartésien ayant du mal à faire abstraction de cette invraisemblance.
Le trait de Kelilan est homogène, l’unité entre les 3 volumes est plaisante, y compris au niveau de la couleur, bien que sur ce 3° tome Kelilan ait pris le relais de Javier Martin. On ne fait pas attention au premier abord à ce changement, et puis à bien y regarder, les couleurs de Kelilan sont plus douces, moins "franches" mais ça n’est pas pour me déplaire.
Adam et Eve, la vie et la mort, sont autant de thèmes abordés dans cette BD SF, en complément d’une réflexion sur l’intelligence artificielle qui ne manque pas de philosophie.
Par Beuleu, le 23 juillet 2007
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