LITTEUL KEVIN
Tome 7
Comme toujours, l’album est un recueil des histoires parues dans fluide glacial. On ne change pas les éléments qui gagnent. Dans celui la, il y a huit petites histoires d’environ 6 pages. On y retrouve les mêmes personnages. Il y a 2 histoires ou ils sont juste tout les trois (Kevin, son père et sa mère). 4 histoires où ils sont avec les autres bikers du bar. Et les 2 dernières histoires où la famille est en vacance.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
285815371X
2 avis sur LITTEUL KEVIN #7 – Tome 7
ATTENTION album dangereux.
Beaucoup de rire et de tendresse sont contenu a l’intérieur. Et c’est toujours aussi bon, voir meilleur au fur et a mesure des albums. Les personnages sont bien connu maintenant mais coyote arrive toujours à les mettre dans des situations vraiment hilarantes (l’épisode de l’essayage du slip dans le magasin et l’épisode du parapente sont excellent).Et le dessin de coyote est vraiment fabuleux. Que ce soit sur les gros plans et sur les images du fond tout est vraiment très détaillée. D’ailleurs la première image de l’album en est un parfait exemple.
Par Fef, le 25 juillet 2003
Excellent comme d’habitude, c’est vrai, mais….. un peu moins drôle pourtant !
Bon, j’ai quand même piqué un fou rire pour le sketch sur l’achat et l’essayage du « tanga », ça c’est un vrai moment de solitude ! 😉 et bien sûr la delta plane partie où là aussi, franchement, on entend presque cet énorme bonhomme monter d’un ton (voir plus) le timbre de sa voix et c’est complément craquant, puis hilarant : imaginez le contraste entre un physique assez imposant et une petite voix douce et émerveillée : -)
Le dessin caricatural est toujours formidable et même si l’album manque un peu de cette forme olympique que nous a montré Coyote, il est très drôle et c’est un petit plaisir dont on ne se lasse pas.
Pour les nouveaux lecteurs, commencez plutôt par les premiers pour entrer de plein fouet dans le jeu et l’humour de Coyote. Pour les habitués, jetez vous aussi sur ses « carnets intimes ».
Par MARIE, le 15 août 2003