LOCK
Le prix du Passé

Noé est parti quérir le Grand Horloger. La salle de l’horloge a en effet été gravement endommagée, empêchant tout retour de Lock vers la Terre.
La réparation prendra des mois. Les héros se réfugient donc à Terrarium en attendant de pouvoir partir.
Ce qu’ils ne peuvent pas savoir, c’est qu’Arckina a pris le pouvoir, et qu’il s’apprête à arrêter Alkalin et Celestia… Noé et ses amis devront faire confiance au peuple de feu, les Shatoms, pour rester en vie.

Par TITO, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur LOCK #3 – Le prix du Passé

Le tome 3 d’une saga est bien souvent un juge de paix. Elle permet d’évaluer la maîtrise dans la durée de l’histoire et si celle-ci a un avenir radieux ou non. Commencer la lecture de Lock par le tome 3 était pour moi une occasion unique de me forger une opinion sur cette série…
Pour débuter je trouve que la couverture est ratée. Un peu fouillis, couleurs pas assez tranchées, j’ai mis du temps à choisir cette BD parmi la pile d’avis en retard (je suis un peu le Gaston Lagaffe de sceneario… Aub est un peu mon Prunelle…). En revanche une fois la BD ouverte, impossible de s’en décrocher. Le trait est précis, les personnages ont une énorme présence sur les cases et sont dotés d’un look hors du commun. La colorisation est vraiment réussie. Elle sublime les paysages et les intérieurs, et est utilisée à merveille dans le bestiaire du monde, en particulier les Shatoms qui sont franchement superbes. Les scènes de magie, utilisant et abusant du fond blanc, sont magnifiques.
Le scénario est assez clair. Il me manque beaucoup d’éléments pour comprendre tout le contexte mais malgré cela je me suis laissé entraîner dans une trame à la fois politique et aventureuse, pleine de relations humaines complexes, de trahisons et d’amour, et d’un bestiaire fantastique comme je les aime.
Vous l’avez déjà compris, j’ai été séduit par ce tome et je vais me précipiter sur les précédents, car Lock a tout d’une grande série, et VALP me semble avoir tout d’un grand auteur…

Par TITO, le 11 juillet 2004

Publicité