Lost Memories

Orphelin depuis que ses parents sont morts dans un accident quand il avait 16 ans, Akito vit dans la famille de Kô, son ami d’enfance, qui tient un restaurant-traiteur. Mais, à la suite d’un incident, Akito devient amnésique, incapable de reconnaître ses proches, les lieux qui lui étaient familiers, ou de se rappeler le moindre événement de son passé. Kô, amoureux de son ami depuis déjà longtemps, s’occupe d’Akito comme une mère, essayant de lui faire recouvrer la mémoire. Et si cette amnésie était un nouveau départ pour leur relation ?

Par PEK, le 30 juin 2011

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Notre avis sur Lost Memories

Autant les publications homosexuelles habituelles m’ennuient car c’est le même schéma répété à l’infini en une dizaine de tome pour chaque série, autant celui-ci sort un peu plus du lot. Bien que se servant de très très grosses ficelles pour faire avancer l’aventure il arrive néanmoins à intéresser le lecteur …

L’amnésie a toujours été un classique dans la bande-dessinée ou le cinéma pour poser une situation compliquée et amener des déroulements cocaces au recouvrement des souvenirs du héros. En l’espèce, c’est aussi classique que je m’y attendais. Le meilleur ami qui hébèrge l’amnésique et qui est amoureux de lui depuis des années va profiter de cette situation pour lui faire recouvrer la mémoire et bien entendu essayer de l’attirer dans ses filets …

Je ne vous révélerai pas la fin de l’histoire mais considérant qu’il s’agit d’un one-shot et que c’est, au surplus, une histoire sentimentale, vous ne devriez pas avoir trop de mal à en deviner l’issue …

Le dessin est assez bon mais certains problèmes de plongée / contre-plongée viennent vite fatiguer le lecteur qui se demande si ce manga ne se passe pas en fait sur un bateau, roulant sur les vagues …

Une lecteur sympa sans plus, à réserver à un public adulte et qui aime ce type de publications homosexuelles … Je dirais que le grand mérite de ce manga est de ne pas caser des scènes de cul à chaque page et qu’il tente de se concentrer sur l’aspect sentimental plus que sur le bestial !

Par PEK, le 30 juin 2011

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