LOUPIO
La rencontre et autres récits

Assise vivait dans la peur d’un loup que les on-dit avaient fini par transformer en monstre, au point que les habitants ne sortaient plus de derrière les remparts qui protégeaient leur ville.

N’y tenant plus et prenant son courage à deux mains, un garçonnet sortit de la place en sautant des remparts pour aller au-devant du fameux loup tant redouté.

Lorsqu’il vit l’animal, il le trouva en étrange compagnie. C’est Saint-François d’Assise qui était en pourparlers avec lui : en échange de nourriture que lui donneraient les hommes, le loup devrait assurer leur protection.

Ainsi se fit la rencontre entre ces trois protagonistes. Le garçonnet fut chargé par le saint homme de s’occuper de "Frère Loup", ce qui lui valut le surnom de Loupio.
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur LOUPIO #1 – La rencontre et autres récits

L’histoire "La rencontre" résumée ci-dessous est à la série Loupio ce que serait un pilote pour une série télé. On y fait la connaissance du garçon qui donne son nom à la bande dessinée, et on y comprend aussi bien les orientations de la série, une série "chrétienne". 

"La rencontre" est suivie d’autres historiettes. S’adressant aux plus petits d’entre nous, elles se voudraient presque être une sorte d’école de la vie, une sorte de catéchisme permettant au lecteur d’éveiller sa maturité charitable avec des récits au parfum de paraboles d’Evangile.

L’objectif se confirme dès la seconde histoire : Loupio va rencontrer Orlando, connu pour avoir participé aux Croisades. Auprès de cet adulte, Loupio va aller cherche le frisson qu’on trouve lorsqu’on se fait, enfant, raconter des récits de combats. Mais vite, notre jeune héros va entendre de la bouche d’Orlando que celui-ci a changé de combat pour s’occuper des autres, que c’est sa nouvelle bataille, son nouvel objectif…

Historiettes indépendantes, donc, mais liées par un même thème… religieux, ou de bon sens. Courtes et bien ficelées, elles sont portées par un dessin très simple pour toucher les enfants parfois pas trop habitués à leur âge à déchiffrer des planches de BD. A découvrir.
 

Par Sylvestre, le 1 mai 2007

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