LOVE JUNKIES
Tome 10
Eitarô se rend compte qu’il est tombé raide dingue de Miho et que celle-ci… le lui rend bien ! La jeune femme va pourtant lui annoncer qu’elle envisage de partir bientôt étudier en Europe, mais amoureux fou, Eitarô ne se cambre pas pour autant et a foi dans la force de leur couple, même si leur relation doit se vivre à distance.
Le truc, c’est que Eitarô doit annoncer les sentiments qu’il a pour Miho à Emu qui, elle, s’accroche autant qu’elle peut à l’espoir de vivre avec lui. Il mettra du temps par trouver le bon moment, mais Emu l’avait senti et mettait tout en œuvre pour le faire changer d’avis ; ce qu’il n’a pas fait.
Emu va ainsi partir en dépression, manquant de se perdre dans les bras d’un autre… Désemparée, faible, elle va devenir la proie facile de gens mal intentionnés…
Par sylvestre, le 12 août 2010
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782351802359
Notre avis sur LOVE JUNKIES #10 – Tome 10
Ce dixième volume est un tome très chaud. Il commence en effet par une quarantaine de planches torrides avant de revenir plus spécialement sur la relation triangulaire "à la ville" entre Eitarô bien embarrassé entre les amours que lui vouent Miho et Emu !
Difficile, vous le comprendrez, d’être pris entre deux feux, de choisir entre deux bonheurs. Mais Eitarô a cela pour lui qu’on ne pourra pas lui reprocher : même s’il aura mis du temps à avouer à Emu qu’il aime Miho, il l’a fait. Yes, he did it ! D’autres auraient en effet pu jouer double jeu, profiter de l’amour des deux, d’autant plus que celle qu’il a choisie va s’éloigner géographiquement de lui et qu’alors, il aurait très bien pu garder l’autre sous le coude (ou sous autre chose, d’ailleurs… (Rhoooo !)
Emu est très touchante, dans cette histoire. Redoublant d’efforts et prenant sur soi pour ramener son bien-aimé dans ses filets. Allant jusqu’à "s’y coller", même, dans un très sensuel baroud d’honneur. Mais Eitarô ne lâchera pas. Ce qui aura pour conséquence qu’Emu, elle, lâchera prise, en quelques sortes, relançant un certain suspense dans cette chronique rose dont on verra qu’elle peut virer au noir…
Par Sylvestre, le 12 août 2010
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