LUCKY LUKE
La mine d'or de Dick Digger
La mine d’or de Dick Digger
Lucky Luke croise le chemin de son ami Dick. Ce dernier vient de découvrir un filon d’or dans les West Hills. Tous deux font route pour Nugget-City, où le prospecteur compte faire enregistrer son claim. Il a caché le plan du filon dans une vieille bouteille de rhum.
Alors qu’ils font étape dans un saloon, deux bandits agressent Dick et s’emparent du plan de la mine.
Le sosie de Lucky Luke
Lucky Luke parcoure l’Arizona en quête d’aventure. Il fait étape à Silverbrook. En rentrant dans le saloon, quelle n’est pas sa surprise de voir tout le monde fuir à sa vue. Il apprend alors qu’il a un sosie, un homme du nom de Mad Jim. Contrairement à Lucky Luke, il s’agit d’un bandit de la pire espèce. La ressemblance physique va poser des problèmes à notre héros.
Par legoffe, le 18 avril 2010
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782800114415
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Notre avis sur LUCKY LUKE #1 – La mine d’or de Dick Digger
Ces deux récits paraissent, tout d’abord, en 1947 dans la revue “Spirou”. Dupuis les édite ensuite dans un album commun, La mine d’or de Dick Digger, qui est publié en 1949. Précisons qu’il ne s’agit pas, comme on pourrait le croire, des deux premières histoires mettant en scène Lucky Luke. Ce dernier apparaît pour la première dans Spirou en 1946, avec le récit “Arizona 1880”, dont la publication en album attendra le tome 3 (Arizona).
L’intérêt des deux histoires qui nous intéressent ici vaut, avant tout, pour son caractère patrimonial. Nous y découvrons un Lucky Luke dont le style graphique est vraiment naissant. S’il a déjà sa chemise jaune, son gilet noir et son grand chapeau blanc (seul le pantalon est noir alors qu’il deviendra bleu par la suite), ses traits sont encore perfectibles. Morris se cherche encore, mais évolue vite ; il suffit pour s’en convaincre de voir déjà les différences entre ces deux histoires. Vous noterez aussi que Jolly Jumper est déjà de la partie.
Cet album est donc une curiosité. Il faut, en effet, avouer que le scénario n’a pas de grande originalité. Il s’agit, pour l’essentiel, de courses poursuites entre gentils et méchants. Tout est cousu de fil blanc. Néanmoins, on devine déjà quelques prémisses de l’humour qui deviendra prépondérant à l’avenir.
Par Legoffe, le 18 avril 2010