MAC COY
Un nommé Mac Coy
Nouveau Mexique – non loin du Rio grande-
Le Capitaine Mac Coy croupit au camp IV de l’armée fédérale : une prison pour soldats confédérés. Le Major Richardson, officier commandant le camp, cherche des volontaires parmi les prisonniers sudistes pour une mission dangereuse au Mexique. Mac Coy et ses hommes seront partant : ils devront retrouver un officier nordiste, le Capitaine Saint Croix, qui a déserté avec une partie de sa compagnie, massacrant l’autre, avec trois millions de dollars , et surtout, le pendre dés qu’ils auront mis la main dessus.
Au Mexique, la mission ne sera pas de tout repos : la bande de saint Croix, les Apaches et les soldats du corps expéditionnaires français ne feront pas de cadeaux non plus.
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2205008889
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Notre avis sur MAC COY #2 – Un nommé Mac Coy
1965 : Sam PECKINPAH réalise le film "Major Dundee" avec Charlton Heston, Richard harris et James Coburn, un classque du western : durant la guerre de sécession, les Apaches du chef sierra Charriba sèment la terreur aupres des colons et des soldats, pres de la frontière du Mexique. le Major Dundee décide de former un bataillon composé de volontaires nordistes, de voleurs, et de prisonniers sudistes pour traquer l’apache; et il faudra combattre les soldats français aussi.
"Un nommé Mac Coy" me permet de retrouver l’esprit du film. Le même plaisir.
La guerre de Sécession touche à sa fin. Nous retrouvons Mac Coy dans une prison militaire, qui va accepter d etravailler pour ses ennemis. Nous allons faire la connaissance du sergent Charley qui deviendra le compagnon d’aventures de Mac Coy à partir de ce tome. Par la suite, le récit va lorgner du côté du "western-spaghetti", avec poursuites, coups fourrés, trahisons, chasse au magot. Palacios créant une ribambelle de "gueules" . J’ai l’impression d eme retrouver dans un film de Leone , et meme de Peckinpah : ceux qui ont vu "La horde sauvage" comprendront.
Encore une bonne histoire qui ne peut que vous inviter à galoper dans la prairie, ou dans les "grans espaces " de l’Ouest sauvage".
Par BERTHOLD, le 23 juillet 2005