MACHINES DE GUERRE
Dream Team

Base de la 3ème Division Blindée US Sparhead, en Angleterre, mai 44. Le sous-lieutenant Anderson, Comanche, Guetty, Sam et Ralf reçoivent du sergent les dernières instructions à propos du char Sherman dont ils composeront l’équipage, et qu’ils baptisent « Dream Team ».
Le 18 juin 1944, ils débarquent en Normandie. A peine arrivés, ils subissent le feu de soldats SS. Le Dream Team est touché, il a besoin d’un nouveau masque de canon…

 

Par berthold, le 24 juin 2020

Notre avis sur MACHINES DE GUERRE #3 – Dream Team

Après le JS1, le char soviétique, et le Tigre allemande, Pécau présente le Sherman M4A3E8(76).

Dream Team est le nom du Sherman dont nous allons suivre l’histoire durant quelques mois, de mai 1944 à mai 1945. Le char Sherman est présenté par un sergent instructeur devant plusieurs équipages. Nous faisons alors connaissance avec Anderson, Comanche et leurs trois camarades qui composent l’équipe du Dream Team.
Pécau nous fait entrer sur le sol français à leurs côtés, pour affronter quelques chars ennemis, nous découvrons les soucis que rencontre le Dream Team, l’arrivée du nouveau Sherman, le Dream Team II, qui conduira nos héros jusqu’en Allemagne. C’est un regard passionnant sur la vie de ces hommes, du point technique des chars et de leurs affrontements face aux troupes ennemis.
Comme les deux autres volumes, cet album se lit d’une traite, un très bon divertissement qui ne nous lâche plus. Il est un peu dommage que Pécau ne mette en avant que deux des membres du Dream Team, le lieutenant et Comanche. Cela donne quand même un bon point de vue sur l’esprit de ces soldats dans cette période.

La partie graphique, confiée à Andronik et Mavric est excellente. Les deux artistes connaissent leur boulot et offrent de bonnes planches. Les scènes de combats sont assez impressionnantes et sont mises en scène de façon spectaculaire, sans trop jouer sur les effets.

Un bon récit, une belle démonstration du Sherman M4 et une autre façon de raconter un pan de la Seconde Guerre Mondiale. Un album à découvrir sans hésiter.

Par BERTHOLD, le 24 juin 2020

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