MALEDICTION DE ZENER (LA)
Sybille
Sybille Thiberge, jeune étudiante en psychologie, fait partie d’une expérience menée par le professeur François Bruner à la Sorbonne.
Déterminée à le rencontrer, elle multiplie les tentatives, sans succès.
Jusqu’au jour où elle fait d’étranges rêves, dans lesquels elle voit Paris en plein chaos, des shamans aux pouvoirs étonnants… Sont-ce les fruits de son imagination ou ont-ils un rapport avec les expériences du professeur Bruner ?
Pourquoi accepte-il de la recevoir brusquement?
Sybille mène l’enquête pour savoir le fin mot de l’histoire…
Par PATATRAK, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2226152687
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Notre avis sur MALEDICTION DE ZENER (LA) #1 – Sybille
Ca commence plutôt bien, avec une héroïne à la tête bien faite qui se plonge (et nous aussi) dans la parapsychologie avec enthousiasme !
Le scénario de Jean-Christophe Grangé est bien construit dans l’ensemble et titille l’imagination et la curiosité du lecteur. On a tous été plus ou moins intrigué par les pouvoirs télékinésiques et autres formes de dons inexplicables, et je dois avouer que c’est la raison majeure qui m’a poussé à lire ce premier tome.
Toutefois, je trouve qu’il y a quelques maladresses dans l’enchaînement des scènes : des transitions parfois assez brutales qui m’ont un peu gêné dans la lecture. Rien de réellement répréhensible cependant.
Le dessin de Philippe Adamov est également très agréable pour l’œil et ajoute au mystère par des plans ma foi plutôt réussis.
En fait, la seule chose qui m’a gêné dans ce premier opus, c’est la mise en couleurs, qui manque de charisme et ne donne pas immédiatement envie de lire. Même si elles collent plutôt bien à cette époque soixante-huitarde, elles semblent tellement froides par moment, que ça met mal à l’aise.
Mais du coup, on se retrouve bien impliqué dans cette époque un peu parano de la fin des années 60, où la lutte idéologique battait son plein et où les idées farfelues fleurissaient à la va-comme-je-te-pousse.
Et finalement, on est entraîné sans s’en apercevoir dans les malheurs de la pauvre Sybille qui semble n’en être qu’au début de ses péripéties.
Un premier tome globalement réussi donc, dont on espère la pleine éclosion dans le tome suivant…
Par PATATRAK, le 15 novembre 2004
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