MARQUIS D'ANAON (LE)
La chambre de Khéops

Paeis. Jean-Baptiste Poulain est convoqué chez un notaire. Il y découvre que 5 autres personnes qu’il ne connait pas sont aussi convoqués. Tous apprennent qu’ils sont les héritiers d’un certain Umberto Leone, qui vient de mourir au Caire  et vont toucher 10 000 livres chacun. Ils en restent ébahi.
Poulain veut comprendre pourquoi un homme qu’il ne connait pas lui a livré une telle somme. Et pour cela, il va en quêter sur ce Leone. Il se rend chez lui où la gouvernante a gardé la maison. Elle va lui raconter sa vie et Poulain va découvrir que ces dix dernièes années, Leone était le plus souvent au Caire. Jean-Baptiste va donc entreprendre un voyage en Egypte et se rendre à a pyramide de Khéops qui intriguait Leone. Là-bas, il va découvrir des notables français mais peu à peu, la sympathie laisse palce à l’antipathie. un amaise s’installe alors que Poulain s’approche de la vérité….

Par berthold, le 1 janvier 2001

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2 avis sur MARQUIS D’ANAON (LE) #5 – La chambre de Khéops

La série Le marquis d’Anaon me fascine depuis le premier tome. J’attends chaque nouveauté avec impatience.

Avec ce nouvel opus,les auteurs vont nous faire voyager et nous  entrainer en Egypte; Tiens; j’y pense mais cette semaine, c’est mon deuxième voyage en Egypte du côté de la pyramide de Khéops, après avoir lu Les Mondes perdues de Conan Doyle (Casterman, coîncidence de lecture. Mais, bon, passons (mais lisez aussi mon avis sur cette bande dessinée), voulez-vous et revenons sur Le Marquis d’Anaon.
Encore une fois, c’est un bon cru, même si ‘ai une nette préference pour les tomes précedents que je trouve supérieur à celui-là. Mais, ce tome  5 est tout d emême une bonne surprise. Fabien Vehlmann sait nous surprendre par sa narration, à sa façon d’amener le récit. J’aime bien comment peu à peu, et tout simplement, il nous entraine dans ce mystère. Et, je vous met au défi de découvrir ce qui vous attend dans cette histoire dès le départ. En fait, avec une trame simple, Vehlmann construit un scénario bien construit au suspense insoutenable (si je peux me permettre).
Vehlmann nous propose encore une fois un personnage féminin au caractère assez fort avec cette Diénéba. Ah, la scène où il la sort dans les rues en costumes genre marquise. Et puis, il y a ces notables français installés au caire et qui agissent en colonisateurs, en être supérieur. Des personnages que petit à petit on s emet à détester.
‘admire le travail de Matthieu Bonhomme depuis que je l’ai découvert avec cette série. Il retranscrit paraitement la vie à cette époque, nous fait revivre les rues du Caire et nous surprend encore une fois. Par moment, il lui donne n air niais, ébahi à ce pauvre Jean-Baptiste au début. Unair qu’on ne lui conait pas encore. Matthieu Bonhomme est un auteur à surveiller. La suite de Messire Guillaume est prévu pour bientôt etkj’espère que la série le voyage d’Esteban reviendra assez vite aussi.

Bref, faites donc ce petit voyage en Egypte, visitez donc la pyramide de Khéops et découvrez son secret. Vous ne serez pas déçu par ce qui vous y attends.

Par BERTHOLD, le 30 juin 2008

Mon coup de cœur de ces dernières semaines va à « La Chambre de Khéops », le tome 5 du « Marquis d’Anaon », de Fabien Vehlmann et Matthieu Bonhomme, chez Dargaud. Il faut dire que j’ai craqué pour cette série dès « L’Île de Brac » et que, de manière générale, j’aime bien le travail de Fabien Vehlmann, qui est à mon avis un des scénaristes les plus prometteurs de la nouvelle génération. L’époque, le sujet et le travail graphique de Matthieu Bonhomme avaient déjà au départ tout pour me séduire. Mais là aussi, c’est l’originalité de l’histoire et la qualité de la narration que je voudrais souligner. J’ai été intrigué par le début, séduit par le développement et surpris par la conclusion de ce récit que j’ai dévoré d’une traite avec un immense plaisir. Et je me suis dis en refermant l’album que décidément, la BD, quand elle est bien dessinée, bien racontée et qu’en plus, l’histoire est intéressante, peut nous réserver des vrais moments de bonheur.

Voilà, plutôt que de vous faire un compte-rendu détaillé des histoires ou des commentaires techniques sur l’ album, j’ai juste voulu vous faire part de mes sentiments de simple lecteur comblé, en espérant vous avoir donné envie d’ouvrir cet ouvrage.

Par Roger SEITER, le 23 août 2008

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