MARVEL ICONS (V2)
Quand tout est perdu, la bataille est gagnée
Munis des pouvoirs mystiques d’une partie des Vengeurs, Wolverine peut aller affronter la créature extra-dimensionnelle Agamotto. Le gagnant gardera le fameux Oeil d’Agamotto.
Alors que Tony Stark prend le volant sur une piste, de sa nouvelle voiture pour la tester, celle-ci explose !
Le Baron Zemo a donc attirer le nouveau Captain America dans un piège ! ce dernier a fonçé tête baissée. Il se retrouve sur l’île où lors de la Seconde Guerre Mondiale, alors qu’il était encore Bucky, il avait failli périr !
Les Quatre Fantastiques vont devoir faire face à un retour inattendu : celui de Nathaniel Richards !
Par berthold, le 16 août 2011
Notre avis sur MARVEL ICONS (V2) #7 – Quand tout est perdu, la bataille est gagnée
Après avoir apprécié la lecture de Marvel Heroes et Marvel Stars, vous vous ferez encore plaisir avec ce nouveau numéro de Marvel Icons.
Tout d’abord, du très bon avec New Avengers (V2) 6 où Bendis nous offre la conclusion spectaculaire et dramatique de cette saga mystique. Oui, dramatique puisque l’un des vengeurs va y laisser sa vie et cela ne sera pas sans conséquence. Alors, lequel est ce ? Forcément, de mon côté, je ne vous le dirai pas !
Le dessin d’Immonen est magique et superbe. Rien que pour cela, ça vaut le coup d’œil (d’Agamotto?).
Même le récit écrit par Matt Fraction, Invincible Iron Man 31, s’avère bien prenant et donne envie de lire la suite tant les événements s’enchaînent à une grande vitesse. Tony Stark semble avoir du souci à se faire.
Tout comme Barnes, le nouveau Captain America, qu’Ed Brubaker envoie dans le piège tendu par le Baron Zemo dans Captain America 610. Que du bon dans cette histoire aux relents du passé qui s’avère être un bon suspense. Brubaker est vraiment l’un des scénaristes majeurs de l’univers Marvel. Le tout mis en images par le talent unique de Butch Guice. Que demander de plus ?
Hickman fait donc revenir dans Fantastic Four 581, le père de Red Richards, Nathaniel, pour une nouvelle saga fantastique et extra-temporelle où le lecteur ne sera pas au bout de ses surprises. Neil Edwards vous offre de très belles planches qui vous laisseront par moment sans voix.
A ne pas manquer !
Par BERTHOLD, le 16 août 2011
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