MARVEL STARS
Les retrouvailles
Le centre ville de Hong Kong est la proie d’une attaque menée par les troupes du Hai-Dai dont le chef est le père de Shang-Chi. Ce dernier intervient avec Steve Rogers et ses Vengeurs. Rogers ne se doute pas qu’il tombe dans un piège.
Le Raft. Luke Cage en a marre de mener les Thunderbolts. Il veut lâcher l’affaire et profite d’une visite de Steve Rogers, Thor et Iron Man pour lui en parler. S’il en a le temps, car il se passe quelque chose d’étrange.
La base de la Géhenne. Phobos est tombé, tué par Gorgone, un des chefs de l’Hydra. Nick Fury et le reste de son groupe doivent prendre la fuite avant qu’il ne soit trop tard pour eux aussi.
Par berthold, le 16 août 2011
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Notre avis sur MARVEL STARS #7 – Les retrouvailles
Toujours aussi musclé et prenant le programme proposé dans le Marvel Stars de ce mois-ci.
Tout d’abord, pour vous mettre en condition, deux épisodes des Secret Avengers (8 & 9) où Ed Brubaker poursuit sa saga avec le mystérieux Conseil de l’Ombre, l’énigmatique John Steele et ce clone de Nick Fury, Max. Ici, nous en apprendrons un peu plus sur John Steele : nous saurons que lors de la seconde guerre mondiale, il a combattu auprès de Captain America, qu’il fut un des premiers super-soldats, qu’il aurait connu la première guerre mondiale, voire même la guerre de Sécession. Nous assisterons à un combat spectaculaire entre ce Steele et Steve Rogers. La suite nous dira le fin mot de toute cette histoire. Ed Brubaker ne nous déçoit pas sur ce coup là. Le dessin de Deodato m’a surpris. Il y a une case où l’on voit Rogers, McCoy, Shang-Chi et l’une des armes immortelles et qui donne l’impression que c’est une photo et que les personnages bougent. C’est une sensation étrange.
Avec Thunderbolts 150, Parker ne nous déçoit pas non plus. son récit est toujours aussi prenant et ses personnages intéressants. De plus, le dessin de Kev Walker sert vraiment la série. Je trouve que cet artiste mérite une meilleure reconnaissance pour son travail.
Avec Secret Warriors 22, Hickman ne nous laisse que peu de temps pour pleurer les morts. Nous suivons Fury et son groupe qui tentent d’échapper aux troupes de l’Hydra. L’auteur nous montre aussi un Fury sans pitié avec celui qui a trahi l’équipe et il signe une belle fin où l’émotion apaise la tension des pages précédentes. Le tout étant toujours mis en images avec talent par Alessandro Vitti.
Bref, un bon numéro pour entamer le mois d’août !
Par BERTHOLD, le 16 août 2011