MASKED NOISE
Tome 3
Pendant l’émission à laquelle son groupe Inohurry participait, la chanteuse Nino s’est surpassée et a laissé bouches bées les spectateurs. Et elle dont le rêve était de voir revenir Momo dans sa vie a su qu’elle l’avait touché ce soir-là lorsque peu après, Kuze, de la maison Möbius Entertainment, l’a convoquée pour lui donner… la guitare dudit Momo !
A partir de là, Nino s’est senti pousser des ailes et a voulu se mettre à la guitare. Son coeur s’était mis à rebattre « à temps plein » pour Momo, son ami de jeunesse dont elle avait été si brutalement séparée lorsqu’ils étaient encore petits. Mais Yuzu, à qui elle a demandé des conseils pour la guitare, n’était pas ravi-ravi : lui aussi avait des vues sur elle ; et la voir rêver de Momo n’était pas vraiment pour lui plaire !
De plus, l’essor soudain de popularité de Nino a jeté un certain froid au sein du groupe Inohurry. Et a mis des concurrents sur les dents, par exemple les Silent Black Kitty, le groupe de… Momo (!) qui comptait bien faire une « battle » au prochain festival où les deux groupes allaient être à l’affiche.
Par sylvestre, le 17 janvier 2017
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782344013168
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Notre avis sur MASKED NOISE #3 – Tome 3
On pourrait dire de la série Masked Noise qu’elle est une version shojo et moins adulte de la série Woodstock. En effet, il y est question aussi de rivalités entre des groupes de jeunes musiciens et de relations compliquées entre les membres de ces groupes. Sauf que là, le propos est moins terre à terre que dans Woodstock et que les comportements et les attitudes des personnages sont beaucoup plus "gamins". CQFD.
Le traitement va dans ce sens aussi, côté narration, où certaines phrases de pensées intérieures sont archi découpées pour s’étendre au long de multiples vignettes, en croisant éventuellement d’autres phrases de narration ou de dialogues. Beaucoup de mélo, et de quoi s’y perdre un peu, parfois ! Côté dessin, le style est lui aussi beaucoup plus simple, plus… (gnan-gnan ?) adolescent ! Pour, au final, une histoire d’un intérêt moindre. Mais il est vrai que si comparaison on peut faire, les publics visés ne sont pas les mêmes, d’où la limite de ces fameuses comparaisons. Le constat reste donc banalement le même que d’habitude : ceux qui ont accroché et prennent plaisir à suivre Masked Noise continueront d’y trouver le rythme, les ambiances, les situations et l’intrigue qui les ont fait revenir vers le tome 2 puis vers ce tome 3 en attendant les prochains. Les autres seront déjà retournés à des titres leur plaisant plus… CQFD, encore une fois.
Par Sylvestre, le 17 janvier 2017
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