MASQUEROUGE
Le charnier des innocents

En décembre 1624 alors que Paris est sous la neige, une inquiétante organisation, la secte de l’araignée, projette d’anéantir un quartier populaire de la ville.
Masquerouge, qui a eu vent de cette horrible machination, va s’employer à contrecarrer les plans de ce groupuscule machiavélique.

Par phibes, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur MASQUEROUGE #2 – Le charnier des innocents

Quatre nouveaux épisodes parus dans le mensuel « Pif gadget » sont repris par les éditions Glénat pour créer le deuxième tome de cette série de cape et d’épée intitulée « Masquerouge ».
Les trois premiers ont l’avantage de ne former qu’une seule histoire fondée sur la terreur provoquée par une secte aux desseins meurtriers.
L’originalité de ce triptyque réside dans le fait que Masquerouge dont l’identité n’est connue que du lecteur est confronté à d’autres personnages masqués. On constatera que très peu de visages sont découverts et que notre héros, malgré sa véritable nature, fait preuve d’une force incroyable en ferraillant âprement contre de nombreux adversaires en même temps, en transportant sur l’épaule une de ses victimes et par ailleurs un baril de poudre aux dimensions inquiétantes.
La dernière histoire n’a rien à voir avec la précédente puisqu’elle porte étrangement sur la sauvegarde d’un vieux cerf chassé par un groupe d’aristocrates bien nantis. Masquerouge intervient là en tant qu’écologiste et pur défenseur de Dame Nature.
Malgré des scénarii légers où le personnage principal perd de sa crédibilité, ce tome reste tout de même de bonne facture avec des dessins de Juillard très honnêtes.

Par Phibes, le 26 avril 2007

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