META-BARON
Rina la Méta-Gardienne
La planète Algoma. Le Méta-Baron, manchot, se retrouve nu sur l’une des berges du lac d’Epiphyte, comme tous les intrus qui viennent souiller cet endroit. Il est capturé par une troupe d’hommes dont il ne comprend pas le langage, puis il est conduit vers les chefs de la tribu. Apparait alors une très belle femme, une guerrière différente des autres. Alors qu’elle sort son épée pour tuer l’étranger, Sans-Nom réagit et désarme son adversaire qui lui lance de la poudre au visage. Après cela, il arrive à comprendre ce que disent les habitans d’Algoma…
Par berthold, le 20 novembre 2017
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782731636260
Notre avis sur META-BARON #5 – Rina la Méta-Gardienne
Avec Rina, la Méta-Guerrière, s’ouvre un nouveau cycle qui nous permet de retrouver Valentin Secher au dessin.
Cette série reste toujours d’un très haut niveau. Ce nouveau tome est toujours aussi passionnant et l’univers s’étoffe de nouveux mondes, de nouvelles surprises.
Frissen, d’après une histoire de Jodorowski, fait du très bon boulot. Cette série, qui n’est pas un simple spin-off de La Caste des Méta-Barons, devient une oeuvre phare de l’univers de l’Incal.
Nous découvrons sans-Nom, nu et démuni, sans vaisseau, sans Tonto, qui doit se débrouiller dans ce monde inconnu et qui risque de tomber l’amour. A moins que… De la découverte de ce monde, des peuples qui y habitent et du pouvoir de l’épiphyte, le danger va vite se présenter avec l’arrivée des Techno sur Algoma.
Les dernières scènes sont très belles. Le choix de Sans-Nom est un des moments les plus émouvants de la saga.
Quand à la partie graphique, Valentin Sécher est toujours au sommet. Les paysages d’Algoma, la jungle, tout est superbe. Sécher est un dessinateur ET un coloriste hors-pair. Il créé l’ambiance et nous immerge dans cet univers hors du commun. Comme le passage du tremblement de terre, très impressionnant ! Tout comme l’arrivée des Techno sur Algoma.
Vivement la suite de ce nouveau cycle. Le titre : Sans-Nom le Techno-Baron est prometteur.
Par BERTHOLD, le 20 novembre 2017
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