MEUTE DE L'ENFER (LA)
le secret de la sibylle
Le groupe continue de se rapprocher de Rome mais il est obligé de continuer son voyage par la terre après que leur bateau a été attaqué. Ils arrivent dans une région troublée. Il y a de grandes dissensions chez les Ostrogoths qui dirigent le pays. Les Romains profitent de la situation pour se venger des envahisseurs. Dans un temple, ils voient des Romains, adorateur Aïta, mutiler des Ostrogoths selon le rite de cette vieille divinité.
Alors que le groupe se concerte pour savoir s’ils doivent intervenir, Epidamnos est attaqué par le fantôme de Moundhir.
Peu de temps après, le groupe arrive dans un village abandonné de ses habitants après qu’il a été attaqué par les romains. Ils retrouvent les survivants. Parmi eux se trouver le marchant ambulant Gaïus qui les emmène à Rome ou Epidamnos veut rencontrer Domitien, un autre disciple d’Owann.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
273161675X
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Notre avis sur MEUTE DE L’ENFER (LA) #3 – le secret de la sibylle
Comme dans les tomes précédents, on a toujours les deux histoires. Celle où le groupe se rapproche de Rome et des enfers à la demande de la reine et celle où l’on découvre le passé de la meute. Dans ce tome, on apprend pourquoi il y a huit ans, ils ont tué Moundhir, leur chef de l’époque.
Ce tome est assez étrange, bien que l’on apprenne encore de nouvelles choses sur le passé de la meute, je trouve que leur quête principale n’avance pas énormément. A la fin du tome, le groupe sait quelles épreuves les attendent en enfer, mais ils sont encore loin d’y arriver. Le sacrifice d’Epidamnos amène aussi son lot de questions car c’est lui qui avait le plus d’informations sur le chemin qui mène à l’enfer. Il me semble que les relations entre les personnages ne vont pas forcement aider à ce qu’ils avancent rapidement.
Le changement de dessinateur se passe en douceur, car le style qu’utilise Kovacevic reste très proche de celui de Hojgaard et n’a pas énormément de points communs avec son autre série, la roue. Je n’avais pas fait le rapprochement entre les deux avant de rédiger cet avis.
Par Fef, le 30 décembre 2006