MILAN K.
La guerre des Silovikis

Milan King est venu à Londres à la demande de Anton Nikolaevitch. Il pense qu’il a des choses à lui révéler sur son père. Mais en fait, il est là pour participer à l’assassinat de Paline, le président russe, qui est à l’origine des déboires de Milan. Le jeune homme refuse. Anton lui fournit un livre qu’il doit lire pour en apprendre plus sur la façon utilisée par Paline pour diriger sa politique. Même après l’avoir lu, Milan hésite.
Pendant ce temps, à Los Angeles, au County USC Medical Center, des hommes des services secrets se dirigent vers la chambre de Charles King qui est toujours dans le coma. Il doit être expédié en Russie. Lorsqu’il apprend cela, Milan change d’avis. Il aidera Anton Nikolaevitch…

 

Par berthold, le 16 septembre 2013

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Notre avis sur MILAN K. #3 – La guerre des Silovikis

Enfin, voilà la conclusion du premier cycle de la série Milan K.
Au vu de ce tome 3, je dois bien vous avouer que le jeune Milan K. n’a rien à envier au Largo Winch, Larry B.Max ou autre Jason McClane…
Sam Timel construit une intrigue complexe, bien rythmée, servie par de bons rebondissements, qui nous fait passer un très bon moment de lecture avec ce qu’il faut comme frisson. Comme on peut le constater dans ce nouveau tome, Milan K., le jeune héritier russe, n’a pas beaucoup de facilité pour mener à bien sa vengeance. S’attaquer au président de Russie n’est pas une chose aussi facile qu’on ne le pense. Timel aborde plutôt cette vengeance par le biais de la ruse et de l’intelligence. Bien sûr, on a aussi de l’action avec des scènes de poursuites spectaculaires. Celle à moto vaut vraiment le coup d’oeil. Il ne faut pas non plus oublier la partie sensuelle avec quelques jeunes femmes sexys et proches de Milan. L’affrontement entre Milan et Paline est un beau moment et certainement le "clou du spectacle" de cet opus. Et ne dévoilons pas la fin qui ouvre de nouvelles pistes pour la suite des aventures de Milan K…
Je ne peux que vous conseiller cette lecture. Surtout qu’elle est servie par le talent de Corentin, le fils de Michel Rouge, au dessin et à la couleur. Son trait est propre, limpide et clair. Il suffi de juste ouvrir le livre et d’admirer l’une des pages de cet album pour s’en rendre compte. Corentin s’y connait aussi pour nous entrainer dans les scènes d’action et pour nous tenir en haleine avec des moments plus statiques lorsque les personnages discutent.

La guerre des Silovikis conclut en beauté ce premier cycle. Il nous permet de nous faire une idée de ce qui va suivre dans les prochaines aventures de Milan K., un nouveau héros qui a su se gagner une belle place dans le panthéon des héros de thrillers du neuvième art !
Une oeuvre à ne pas manquer !

 

Par BERTHOLD, le 16 septembre 2013

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