MON AMIE LA POOF
Moorad

Liv Schmidt se remémore avec son éternel complice Ivan, les années 70. Leur folle jeunesse au milieu de la drogue, la pornographie, la petite délinquance, l’amour, la mort.

Par PASCAL, le 1 janvier 2001

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2 avis sur MON AMIE LA POOF #1 – Moorad

Waouh ! C’est le premier mot qui vient à l’esprit quand on a lu le premier tome de cette série. Non, seulement le scénario est extrêmement entraînant, mais le graphisme Tex Averyen en découpage cinématographique est renversant. C’est un peu le cartoon à lire version adulte.
On suit avec délices les aventures de Liv qui malgré son côté souvent irritant (parcequ’elle vous rappelle forcément quelqu’un que vous connaissez) ,s’avère être un personnage aussi complexe que perdu. Efix, nous offre ici, une galerie de personnages haut en couleur qui n’attendent rien d’autre que de se développer.

Par PASCAL, le 20 janvier 2003

Avec un dessin poussant la caricature au maximum, Efix parvient à décrire de manière touchante la vie d’une femme ayant connu le XXième siècle du mauvais côté du trottoir.

La vie de notre amie la Poof est dure, et à l’image des couleurs de cet album, elle est également sombre. Ces couleurs en noir et blanc donnent un côté polar cinémmatographique. Les effets de flous donnant de la profondeur à l’action sont judicieux. Et à cela s’ajoute des dialogues qui feront immanquablement penser aux « Tontons Flingueurs ».

Le récit est bien rythmé et se veut réaliste. Il brosse un portrait assez sombre des seventies’. Et pourtant, on finit par prendre les personnages en sympathie. On dévore ce livre d’une traite, tout en esquissant quelques sourires. Les aventures de notre amie la Poof sont sincères, et réussies. Mais il faut les lire quand le moral est au beau fixe.

Par Eric, le 7 février 2005

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