Mon Père Noël à jamais
C’est la période de Noël, mais un garçon déteste cette fête pendant laquelle tout le monde est joyeux. Et il a de quoi : né un 24 décembre, de parents qui se sont mariés à cette même date, il passe généralement Noël tout seul quand ses parents s’offrent, eux, un voyage en amoureux. Et pour couronner le tout, ils l’ont appelé Santa, ce qui ne lui est pas facile à porter.
Ce jour-là, une fille qui n’a pas sa langue dans la poche va de but en blanc lui proposer de passer la nuit avec elle ! Et par-dessus le marché, elle va lui dire qu’elle est la petite fille du Père Noël et qu’elle est appelée à le remplacer, le jour venu.
Santa aimerait bien y croire, mais il a la tête sur les épaules.
Et quand la chance lui sourira, le jour de cette même rencontre, il ne comprendra pas forcément que Mai, la "fille-Noël" y est peut-être pour quelque chose. Alors… Rêve ou véritable conte de Noël ?
Par sylvestre, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782845996656
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Notre avis sur Mon Père Noël à jamais
Les séries manga nous ont habitués à des ouvrages rassemblant en moyenne 200, voire 300 pages. Alors quand un manga aligne autant de planches que le font classiquement les albums Franco-Belges, ça fait bizarre ! Mais… et alors quoi ? Les mangakas n’auraient-ils pas des histoires courtes à raconter ? Et bien si, et c’est ce qu’a fait Ken Akamatsu, l’auteur des séries Love Hina et Negima ! : il s’est fait plaisir en réalisant ce conte de Noël que les éditions Pika ont fait paraître peu avant Noël 2006 sous la forme d’un (tout) petit ouvrage broché dont le prix ne pourra pas être un frein à votre curiosité de découvrir ce récit entre rêve et… rêve (!!!) qu’il reste chaque année facile et peu ruineux de glisser comme un petit cadeau supplémentaire aux ados fans de manga !
On notera que contrairement à ce qu’on voit classiquement en manga, les pages en couleurs sont dans cet ouvrage les toutes dernières planches de l’histoire : la fin n’en est que plus relevée et elle parfait ainsi l’atmosphère de conte féérique.
Par Sylvestre, le 3 avril 2008
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