MONDE DE LUCIE (LE)
Et pourquoi pas l'enfer...
Peu avant Noêl, un incendie criminel détruit un centre commercial faisant des centaines de victimes, parmi les-quelles de nombreux enfants. Margareth est l’une de ses victimes mais a miraculeusement échappé à la mort. Cependant elle est reste dans un profond coma duquel elle s’extirpe parfois pour parler en russe. Le docteur Emma Chapman tente une technique à base d’hypnose pour sortir la jeune fille de ce coma. Mais devant la difficulté de discuter avec elle, elle décide de faire appel a un de ses anciens amis, russophone, spécialiste en télépathie. Le cas de Margareth s’annonce plus incroyable que prévu, il les force à prendre contact avec d’anciens médecins ayant servi le KGB et à avancer des théories qui les feraient mettre au ban de la communauté scientifique.
Il s’avère en plus, que le cas de Margareth serait lié à celui d’une certaine fille nommée Lucie. Or une jeune fille, répondant à ce prénom se promène dans la ville et possède des pouvoirs qu’elle a du mal à maitriser.
Par eric, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782754800396
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Notre avis sur MONDE DE LUCIE (LE) #1.1 – Et pourquoi pas l’enfer…
Le monde de Lucie, est un invraissemblable thriller, où réalité et mysticisme se cotoient de manière très proche. Ce premier volume regroupe les épisodes 1 à 3 sortis dans feue la collection 32. Et il faut dire qu’après 96 pages on est un peu déçu d’être allé si peu loin. Cependant, les fils mis en place parviennent à captiver le lecteur en laissant un peu d’espace entre les questions qu’il se pose. Même si l’on sait que toutes n’auront pas une réponse. Ainsi, on parvient à conserver l’intérêt pour la lecture de la série. L’aspect feuilleton est moins perceptible dans ce volume, car avec un tel tome, le rythme des rebondissements vient de manière cyclique.
Cette histoire du Monde de Lucie est secondé par un graphisme qui s’appuie des crayonnés au style hésitant comme pour nous mettre dans l’ambiance. Cette ambiance est également servie par la mise en couleur pâle qui refroidit considérablement l’atmosphère. Pourtant le résultat final est très séduisant et facile d’accès.
Seule l’histoire se montre complexe et on après cette grosse introduction on est a peu prêt sûr que la route est longue pour venir en aide à Margareth et Lucie.
Par Eric, le 4 mars 2007
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