MOREA
Un parfum d'éternité

Alors que Moréa s’est retirée dans la partie de Cuba encore sauvage pour retrouver ses forces après son passage dans l’espace, la branche multimédia de DWC est victime d’une série d’attentats.
Théo McMullen en a réchappé et vient prévenir Moréa.
Les ennemis de la firme sont nombreux et trouver les commanditaires ne va pas être chose facile…

Par PATATRAK, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur MOREA #4 – Un parfum d’éternité

Encore un bon tome pour cette série vraiment très plaisante !

Arleston nous entraîne un peu plus loin dans les aventures politico-financières de miss Dolognac à travers Cuba. Dans un scénario bien maîtrisé comme à l’accoutumée, la belle va aller de Charybde en Scylla pour retrouver le commanditaire des attentats contre sa boîte.

Contrairement aux autres tomes, le côté fantastique – à savoir l’immortalité de Moréa – est mis de côté pour laisser place à un vrai polar financier. On ne perd pas une minute tout au long de l’album et le lecteur aura son lot de rebondissements.

Les dessins de Thierry Labrosse sont une fois de plus d’excellente facture : ils restituent parfaitement l’action, le mouvement. C’est super !

Il me tarde maintenant de lire la suite qui devrait se passer en Afrique et qui promet d’être superbe côté décors…

Par PATATRAK, le 24 juin 2005

Publicité