NARUTO
Tome 64

 
"L’union fait la force". L’adage est bien connu ; il est totalement de mise dans ce 64ème tome de la série Naruto où le héros éponyme est secondé par de nombreux membres de l’alliance Shinobi dans sa lutte contre ses terribles ennemis du moments : Obito et Madara Uchiwa.

Comme c’est souvent le cas, le début du tome reprend là où il avait été arrêté le combat laissé en plan à la fin du volume précédent. C’est donc à la fin d’une phase de ce combat contre le duo Uchiba que l’on assiste dans les tout premiers épisodes. Tout allant toujours crescendo dans ce style de manga lorsqu’il est question de batailles au sommet, il ne faudra pas attendre très longtemps pour qu’un nouveau pion arrive sur l’échiquier : le légendaire Jubi dont on peut entendre Kurama dire qu’il est "incommensurablement puissant" ! (Yeah, j’adore quand on révise son vocabulaire dans un manga ! ^^)

L’arrivée de Jubi n’est pas en soi le signe qu’on a atteint le dernier pallier sur l’échelle des niveaux de tension dans la baston. N’empêche qu’elle sonne l’heure pour Naruto et ses partisans d’unir toutes leurs forces… On a bien sûr droit à un regain d’action et d’effets. Ce n’est pas vraiment original en soi : ça fait des tomes et des tomes qu’on a été habitués à de tels développements. Non, là, ce qui fait l’originalité dans cette bataille, c’est que l’auteur a choisi de faire mourir différents personnages, notamment certains très importants. Ça laisserait presque orphelin le lecteur qui les appréciait particulièrement. Mais c’est la dure loi des combats…

Jusqu’où montera la tension ? L’union des membres de l’alliance Shinobi, leur rage et leurs larmes les portent toujours plus haut vers leurs objectifs de victoire et d’imposer leur vision du monde. Le lecteur, une fois de plus, atteindra la fin du volume hors d’haleine : on a toujours l’impression d’avoir passé le plus gros, mais chaque fois pourtant, du encore pire se profile pour la suite.

Suspense, action, forts sentiments, adrénaline… Rendez-vous au tome 65 !
 

Par Sylvestre, le 20 octobre 2014