NEMESIS
Level eleven

Un ex agent de la CIA est assassiné de manière particulièrement
violente. Le seul témoin du meurtre est son petit fils, mais sous le choc,
ne peut rien dire.
L’enquête échoie alors à 2 agents du FBI, Fischer et Mallow. Ceux-ci ne
parviennent pas à s’entendre et l’enquète passe un peu au 2nd plan… Jusqu’à
ce que la fille de l’agent tué, Roxanne Kent, elle aussi membre de la CIA
leur demande de reprendre l’enquête, persuadée que l’agence veut enterrer
l’enquête…
Entre agents de la CIA limites ripoux, marchands d’armes, et étrangetés
biomécaniques, nos 3 héros auront fort à faire…

Par MAC, le 1 janvier 2001

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2 avis sur NEMESIS #1 – Level eleven

Une histoire passionnante! Et encore une fois, elle est de qui? Je vous
le demande? Et bien oui, Ange!! L’idée est somptueuse, elle est réellement
bien exploitée et le suspense monte vraiment bien, et la coupure avant le 2e
tome est bien placée…
Quand au dessin, c’est assez étrange d’utiliser un dessin comme celui-ci
pour une histoire aussi sombre que celle-là… Mais ma foi… Ca passe vraiment
facilement, et les couleurs augmentent l’aspect obscure de l’affaire.
C’est une vraie réussite, qui d’ailleurs, selon les rumeurs, devrait
être adaptée en dessin animé.

Par MAC, le 3 novembre 2002

Scénarisée par le talentueux duo qui se cache sous le pseudonyme d’Ange, ce premier tome de Nemesis se laisse lire sans difficulté, il faut bien dire que de mémoire de lecteur, aucune BD ne s’est débattue…
Mélange de bio mécanique et de polar, avec une petite dose d’humour, un scénario parfaitement équilibré et bien dosé. La rupture avant le deuxième tome dénote d’ailleurs de la maîtrise du scénar. On a affaire à des pros, et ça se sent.
Le dessin par contre, on aime ou on aime pas, il faut bien avouer que c’est assez spécial dans son genre. Les encrages sont très bien faits, style assez sombre, mais les couleurs, je ne sais pas, j’ai un peu de mal parfois, avec ce premier tome en tout cas. Dans l’ensemble, Nemesis se laisse lire, il faudra confirmer avec le second tome.

Par Siam l'Archiviste, le 17 avril 2003

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