NEON GENESIS EVANGELION
L'Ange, l'assaut
An 2000. Une astéroïde géante s’écrase sur la Terre et provoque des
ravages sans précédents dans l’histoire de l’humanité. C’est le « 2nd impact »
2015. Shinji, un jeune garçon part retrouver son père dans une base
gouvernementale, après avoir été séparé de lui il y a des années. Mais sur
le trajet, une créature gigantesque appelée « Ange » attaque la ville. Shinji
est sauvé par une jeune femme qui le conduit vers son père tandis qu’un
robot géant tente de maîtriser le monstre.
Une fois arrivé dans la base, Shinji apprend qu’il va devoir lui aussi
piloter un de ces robot appelés « Eva » et se battre contre l’Ange!
Par MAC, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2723425177
2 avis sur NEON GENESIS EVANGELION #1 – L’Ange, l’assaut
Après avoir vu l’anime, on ne peut qu’être tenté de se pencher sur la version papier de cette référence. En effet, Evangelion est d’abord sortie en vidéo et a été mondialement reconnu comme une réussite sur tous les points.
La version papier reprend cette histoire assez fidèlement avec quelques variantes au niveau du scénario mais ce début reste sensiblement le même que l’anime. En tout cas, l’ambiance y est parfaitement restituée avec les même personnages, un dessin dans la lignée des épisodes et une trame identique.
Il faut quand même avouer qu’il manque à ce manga le dynamisme et la colorisation qui marquaient l’anime : je le conseille donc aux néophytes qui y prendront beaucoup de plaisir s’ils n’ont pas vu l’anime mais pour ceux qui connaissent déjà le sujet, ils risquent plus de sentir une sorte de déjà vu … Un très bon manga dans tous les cas, le découvrir est un minimum selon moi.
Par NOFL'R, le 23 juin 2003
Un premier tome intéressant qui cadre l’action dans un monde post
apocalyptique assez classique, où en plus des combats à mort contre l’Ange,
Shinji va devoir faire face à son père. Ce mélange d’action et de tension
psychologique intense est parfaitement bien mis en scène par les auteurs.
Le gros bémol est à mettre à l’actif du dessin. L’absence de couleurs
ajoute au manque de clarté du trait, et il est parfois difficile de
comprendre ce qui se passe dans les cases.
Une grande saga débute avec ce tome, et ce serait dommage de rater le
démarrage.
Par MAC, le 20 juin 2003
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