NIJI IRO TOGARASHI
Tome 10
Dans un décor très semblable au Japon ancien, six frères et une soeur vivent dans la maison longue Karakuri, non loin du canal Ryûjin, dans la ville d’Edo.
Ils ne le savent pas encore, mais en fait, leur père inconnu à tous n’est autre que le Shogun lui-même. Quant à leurs mères, elles sont toutes déjà décedées. Ils sont d’ailleurs tous en route pour se recueillir sur leurs tombes respectives, et en chemin, vivent diverses aventures.
Cette fois-ci, alors que le groupe s’est scindé en deux à un moment, Natane et Shichimi se retrouvent à Izawajuku, en avance, car ils ont coupé par la forêt, avec à leur trousses trois bandits plus bêtes que méchants, et Shôgo (le neveu du Shogun) et ses hommes, qui eux sont plus méchants que bêtes…
Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Collection s :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
2723449718
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Notre avis sur NIJI IRO TOGARASHI #10 – Tome 10
Adachi est un auteur prolifique en son pays, qui d’ordinaire nous sert plutôt des intrigues amoureuses compliquées… (NDA : du moins dans ce que j’ai lu… ^_^ ) et souvent dans des milieux sportifs, le base ball, la natation, etc… Mais cette fois-ci, c’est dans un univers féodal qu’évoluent nos personnages, avec tout de même, on s’en serait douté, une intrigue amoureuse en filigrane de l’intrigue principale concernant les septs frères et soeurs, qui sont à la recherche de leur père commun et mystérieux…
Question histoire, rien à redire, on a envie de lire la suite, car Adachi a de l’expérience et sait mener son monde, mais il ne faut surtout pas prendre le récit en cours de route, sous peine d’être sensiblement … largué ^_^ .
Pour le dessin, on aime Adachi ou pas, avec ses personnages principaux souvent très proches graphiquement, et sa façon de dessiner les oreilles et les yeux, ce qui fait de lui un auteur aisément identifiable. Personnellement, j’apprecie son graphisme et ses histoires, et sa façon de traiter les sentiments tout en retenue, avec une pudeur respectueuse.
Bref, une histoire dont j’aurai plaisir à lire la suite.
Par Siam l'Archiviste, le 7 août 2005