NIRVANA - MANGA
Nirvana Tome 1
Au Japon, en 2016, la jeune Yachiyo est une véritable perle. Surnommée “la nouvelle mère Theresa”, elle passe tout son temps à faire du bénévolat, rendre service, bref, Yachiyo fait tout pour rendre les gens heureux, au détriment de son propre confort.
Sa gentillesse et sa bonté sont reconnues par tous, si bien que Yachiyo se retrouve sélectionnée pour une mission bénévole à l’étranger. Mais en plein vol, son avion subit une avarie, et s’écrase. Yachiyo se réveille dans un nouveau monde, et apprend qu’elle est la réincarnation de la grande déesse Sakuya, déesse de l’harmonie. Yachiyo doit alors se lancer à corps perdu dans une quête d’envergure : découvrir et restaurer le pouvoir des douze signes, des êtres bénis du pouvoir de la déesse, et user de ses douze avatars pour débarrasser ce monde des Vikaz, des démons qui sèment la terreur et la destruction.
Par Clémence, le 31 juillet 2017
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782818940778
Notre avis sur NIRVANA – MANGA #1 – Nirvana Tome 1
Doki Doki fait la part belle à une série shônen dynamique et originale. L’originalité paie d’emblée : c’est bien une jeune fille – un poil naïve – qui va prendre le pouvoir et combattre, aidée par ses douze compagnons. Chaque royaume de ce monde abrite un des signes dont les pouvoirs sont au service de la déesse. Yachiyo a d’abord bien du mal à accepter sa place dans ce monde, mais très vite, ses instincts reprennent le dessus. Elle combattra par dessus tout pour défendre ce monde qu’elle découvre à peine.
Des personnages hauts en couleur, de l’action, et de bonnes bagarres contre les maléfiques Vikaz, la série apparait comme rythmée et dynamique. L’aspect esthétique des personnages, ainsi que l’humour, donnent très vite le ton. Même si certains dialogues paraissent quelque peu bon enfant, l’atmosphère sait aussi se faire sérieuse et même dramatique, mais toujours avec un trait de bonne humeur ou d’humour, un cocktail sympathique.
Les looks assez travaillés des personnages font oublier le manque de décors, dommage d’ailleurs car les douze royaumes ne trouvent une vraie identité qu’à travers les signes et les avatars. Mais bien entendu, c’est la quête de ces personnages qui prime sur le décor.
Un démarrage en trombe pour cette série qui développe avec entrain et fraicheur tout un univers, à découvrir.
Par Clémence, le 31 juillet 2017
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