NORAGAMI
Noragami tome 3
Lors d’un combat entre les deux divinités Yato et Bishamon, Kofuku a ouvert une faille qui a permis aux Ayakashis, des « démons », de se précipiter dans le monde des humains. C’est maintenant l’heure du nettoyage, et Yato est sollicité par plusieurs clients pour éliminer les Ayakashis. Mais manque de chance, Yato est bien faible, car Yukine, son Shinki, ne cesse de lui faire faux bond. Yukine s’adonne à toutes sortes d’activités fort discutables, et pour protéger Hiyori, et éviter de tenter davantage Yukine, Yato disparait, laissant la jeune fille seule face à ses problèmes…
Par Clémence, le 18 août 2015
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782811619060
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Notre avis sur NORAGAMI #3 – Noragami tome 3
Yato, le dieu des petites annonces et des menus services, est en danger. Les bavures répétées de Yukine ont plongé Yato dans le « trouble », Yato est dévoré par cette maladie, et grandement affaibli. Ce tome 3 est un tome charnière pour le personnage de Yukine : Yato devra-t-il s’en débarrasser? Yukine explore les derniers vestiges de son humanité, animé par une rage sans nom, et une jalousie intense. Pourquoi lui, est-il mort? Pourquoi ne pourrait-il pas profiter encore de la vie, comme tous ces humains qui l’entourent?
Yato a besoin d’aide, et Hiyori se met en quête d’alliés, mais les problèmes s’accumulent, car « l’amie » divinité de Yato, Kofuku, est déesse de la malchance, comme si Yato avait besoin de ça…
Un mystère de plus : Nora, dont le nom évoque un dégoût profond chez toutes les divinités et leurs Shinkis, est attachée à Yato, et ses intentions sont loin d’être claires.
Dans ce tome 3, on explore davantage la relation entre les divinités et leurs Shinkis, les armes-âmes. L’intrigue met en relief les limites ténues entre les plans, celui des démons, et celui des humains, et il est si facile de se laisser basculer de l’un à l’autre.
Beaucoup d’action, un style classique et agréable, ce tome 3 nous plonge à nouveau dans le monde des divinités, que demander de plus?
Par Clémence, le 18 août 2015