NOTA BENE
La vie au Moyen Âge

Nota Bene part à la découverte d’un Moyen Âge encore parfois qualifié de « sombre ». Avec humour et rigueur historique, nous parcourons la vie quotidienne des habitants de cette Europe médiévale !

Par v-degache, le 19 juin 2024

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Notre avis sur NOTA BENE #6 – La vie au Moyen Âge

Le youtubeur Benjamin Brillaud, aka Nota Bene, revient pour un sixième tome consacré cette fois-ci au Moyen Âge ! Le créateur de contenus historiques reprend les mêmes recettes que dans les volumes précédents : des vignettes illustrées accompagnées de textes didactiques, le tout balayant différentes thématiques de la période survolée. Les apparitions de Nota Bene jalonnent toujours avec humour les pages de la BD !

Plongé au cœur d’une joute équestre, qui n’apparut qu’au XIème siècle, Nota Bene souligne immédiatement la longueur de ce Moyen Âge, qui s’étend de 476 à 1492, et qui est donc loin d’être uniforme, avant d’évoquer la mauvaise réputation de ce dernier, propagée essentiellement par les auteurs de la Renaissance. C’est donc l’occasion idéale de revenir sur certaines de ces images encore enracinées auprès du grand public.

Douche à la française !

On balaye la vie quotidienne de ses habitants, ce qui permet immédiatement d’aller contre certaines idées reçues, notamment au niveau de l’hygiène ou du rapport au corps, puis on enchaine sur l’école, la mort, la police (avec la création du Guet royal en 1254 et de la Maréchaussée, ancêtre de la gendarmerie, en 1373), les mobilités, sans oublier la place majeure occupée par l’Eglise. Et bien sûr, quelques pages sur la chevalerie viennent conclure l’ouvrage !

Naissance de la Maréchaussée !

Les passionnés d’histoire seront ravis de ce panorama certes un peu rapide vue la pagination couvrant près un millénaire, les autres pourront peut-être trouver l’ensemble un peu bavard. Ce qui est sûr c’est que Nota Bene poursuit sa passionnante entreprise de vulgarisation de l’Histoire, sans transiger sur le sérieux du contenu !

Sur les traces de Bertrand du Guesclin !

Par V. DEGACHE, le 19 juin 2024

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