NOZOKIANA
Volume 11

Tatsuhiko n’a plus de nouvelles d’Emiru qui a disparu sans laisser de traces. Il se rend d’ailleurs compte qu’elle a rebouché le trou dans le mur. Grâce à Makiko qui est elle aussi inquiète, il pénètre dans le studio d’Emiru et découvre une lettre ou sa voisine lui avoue ses sentiments pour lui, des sentiments qu’elle s’est forcée de cacher pendant ces longs mois de jeu… !

Par fredgri, le 4 avril 2015

Notre avis sur NOZOKIANA #11 – Volume 11

Plusieurs sentiments en refermant ce manga !
Car, à l’image du jeune héros hésitant qui fait le point sur ses amours, sur ses sentiments, on parcoure ces pages un peu indécis, ne sachant pas vraiment ou veut nous entraîner l’auteur ! Car on a tout les éléments du Shojo traditionnel, les romances perturbées, les déclarations d’amour etc. Mais le tout est enrobé d’une couche plus sulfureuse ou les jeunes filles s’effeuillent volontiers, se masturbent en rêvant au jeune héros et nous démontrent par A + B que décidément cet univers est globalement peuplé de filles particulièrement mignonnes et peu farouches.
Le mélange est donc assez intrigant, car on entre tout de suite dans le fond du sujet. Tatsuhiko cherche la jeune fille qu’il aime depuis le début, ce sentiment qui se révèle à lui ramène aussi le souvenir de ces autres conquêtes qu’il a eu depuis le début, ces histoires qui se sont chaque fois conclues par des séparations. Il repense donc à ces sourires, ces corps, ces émotions.
C’est un très bon volume pour faire le point sur la série, parfaitement abordable pour tout néophyte qui voudrait découvrir Nozokiana et son univers !

En contre partie, c’est vrai que ça ne vole malheureusement pas très haut et que l’ensemble baigne dans une atmosphère assez chaude et gratuite. Du fan service à chaque page, et souvent amené sans aucune pertinence, pour satisfaire le lecteur qui apprécie les jeunes lycéennes qui se déshabillent pour se toucher, sans complication, sans chichis !

Je reconnais tout de même que la lecture est agréable, très limpide, même si elle a du mal à sortir des gros stéréotypes propre au genre lui même…

Alors pour le prochain volume, Emiru tiendra-t elle plus de deux pages sans se déshabiller ? Le suspense est intenable !

Par FredGri, le 4 avril 2015

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