Nürburgring 57

1957.
Sur le fameux circuit du Nürburgring, en Allemagne, pour la fin de la saison de la course automobile, vont s’affronter deux des plus grands coureurs automobiles : Juan Manuel Fangio sur Maserati et Mike Hawthorn sur Ferrari. La Maserati présente quelques handicaps par rapport à la Ferrari. Mais Fangio semble bien déterminé à vaincre…

 

Par berthold, le 16 juillet 2012

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Notre avis sur Nürburgring 57

Fangio est une légende, un mythe de la course automobile. C’était un des plus grands champions de ce sport-là. Il a été de nombreuses fois champion d’Argentine, son pays d’origine avant de venir affronter les autres champions sur d’autres circuits du monde. Fangio sera sacré champion du monde cinq fois !
C’est en 1957, sur le Nürburgring, qu’il va faire la course de sa vie, celle où il remportera son cinquième titre. Cette course est devenue légendaire depuis.

L’auteur Christophe Merlin s’intéresse à cette course. Il ne met pas vraiment en avant Fangio dans son récit mais s’intéresse à d’autres personnages secondaires qui vont nous donner l’état d’esprit de ces courses, de ces moments. On suit donc Bertogghi, Béba ainsi que Hawthorn, le concurrent. Tout cela en suivant la course. Merlin nous entraine avec une certaine facilité sur le circuit. Son talent nous emporte à grande vitesse dans cette course où la Maserati et la Ferrari s’affrontent.
Il y a pas à dire, Merlin est arrivé à nous faire sentir le bitume, l’asphalte, l’huile, le pneu, il arrive à nous faire entendre le bruit des moteurs, des crissements des pneus grâce à son graphisme assez particulier. Au premier abord, le dessin peut vous sembler étrange, mais vous vous y ferez assez facilement. Son trait fonctionne à merveille. Et il est assez efficace.
L’auteur a réussi à nous faire revivre cette course avec passion.
L’amateur, le lecteur ne s’ennuie pas une seconde et passe un très bon moment sur les tribunes du fameux circuit du Nürburgring.

Nürburgring 57 est une bonne surprise de la collection Plein Gaz. A découvrir.

 

Par BERTHOLD, le 16 juillet 2012

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