OKHEANIA
L'île
Shark a enfin pu capturer la jeune princesse Hélénia, la fille de l’Imperator. Il a aussi pris dans ses filets Tania, Jon et Jasper. Shark veut la ramener à son père sur l’île d’Ever Rest, mais Hélénia est contre. Avec l’aide de ses amis, elle va essayer de trouver un moyen de fuir. Ils réussissent à voler une barge de secours pour quitter le navire. Malheureusement, c’est le moment qu’a choisi l’Imperator pour venir à bord du navire de Shark. Apprenant la fuite de sa fille, l’Imperator condamne à mort Darianna…
Par berthold, le 17 février 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782505009375
Notre avis sur OKHEANIA #4 – L’île
Voici le quatrième volet de cette saga se déroulant dans le monde d’Okhéania, univers unique, inédit et original.
Corbeyran et Picard vont nous entraîner vers l’île d’Ever Rest et le lecteur, suivant les pas de Hélénia, Tania, Jasper et Jon, va visiter une partie de la ville.
Le lecteur va aussi assister au destin de Darianna et celui du capitaine, qui va tenter de sauver celle qu’il aime tout en négociant autour de la révolte des mulets.
C’est donc toujours avec plaisir que nous rentrons dans le monde d’Okhéania, que nous retrouvons nos héros.
Ce que je trouve bien aussi avec cette série, c’est qu’Eric Corbeyran, le créateur du Chant des Stryges arrivent à nous surprendre par son ton, sa façon de nous conter cette histoire. Lorsque l’on connait une partie de son œuvre, on sait que l’on n’attend pas Corbeyran dans ce genre de récit. Et pourtant…Avec Okhéania, il a su rajouter une corde à son arc et se trouver une nouvelle voie.
Petit à petit, il développe ce monde. Il nous fait partager les aventures des enfants et le destin des adultes.
Tout cela est superbement mis en images par sa complice de Weëna, Alice Picard. Son trait est d’inspiration manga surtout, comme elle le dit, grâce à l’œuvre de Myazaki. Certaines planches sont encore d’une grande beauté et il faut ajouter à ce résultat, le travail aux couleurs d’Elsa Brants.
Okhéania n’a donc pas fini de nous étonner et c’est avec grand plaisir que nous attendons le prochain tome.
Par BERTHOLD, le 17 février 2011