ON THE ROAD TO PERDITION
Oasis

Michael O’Sullivan a un jour compris que son père était en fait un tueur à gage au service de John Looney, un patron de la pègre locale. Ce dernier, pour empêcher le gamin de parler et surtout pour faire comprendre au père de mieux garder son fils, fait aussitôt tuer la mère et le second fils d’O’Sullivan !

Va alors commencer une longue route vers Perdition, ou la famille pourra protéger Michael !

« Oasis » est donc la suite de « Road to Perdition » ! Le père et le fils commence à cambrioler les banques ou est blanchi l’argent de Looney, mais les tueurs sont à leur trousse. Ils vont alors rencontrer la famille O’Daly, des vieilles connaissances, peut-être sauront ils eux aussi les protéger un temps !

Pendant ce temps là, deus hommes sont engagés pour ramener les O’Sullivan, on les appelle les deux Jack, ils sont réputés pour être particulièrement efficaces…

Par fredgri, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur ON THE ROAD TO PERDITION #1 – Oasis

Le premier « Road to Perdition » m’avait laissé un très agréable souvenir, et même l’adaptation cinématographique m’avait plut, c’est dire ! Une très bonne histoire de gangster, des bons sentiments et un petit côté immoral que j’aime assez !

En guise de suite Max Allan Collins lance donc une mini-série en trois numéros dont le premier est admirablement dessiné par le grand Jose Luis Garcia Lopez lui-même ! Ce dessinateur travaille depuis plus de 30 ans dans les comics, il a longtemps été l’artiste de référence chez DC, allant jusqu’à établir les canons à suivre pour tout les personnages de cette maison d’édition (Superman, la JLA…). Ici, on le retrouve en pleine forme dans des planches n’excédant pas les 3 cases (le format de ces mini albums étant assez petit : 14 x 21 cm), c’est très expressif, très dynamique aussi et surtout c’est un noir et blanc sublime, très beau !

L’histoire est dans la droite lignée du premier opus, c’est du gangster classique, un peu répétitif mais vraiment très prenant ! Le personnage principal est un peu décalé mais en fait il répond parfaitement à cette image du héros moral qui se venge etc.

« On the road to Perdition » est donc une histoire qui tient en haleine du début à la fin, même si je vous conseille franchement de lire les trois volumes d’une seule traite ! (94 pages chaque !)

Par FredGri, le 25 avril 2005

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