One shot

Un homme découvre dans le désert un endroit où l’on obtient les objets que l’on désire. Dans un monde à la limite du post-apocalyptique où la pénurie d’énergie en fait la chose la plus convoitée, ce genre d’endroit attire tous les aventuriers, agents de gouvernements, … bien évidemment pour des raisons différentes.

Par fef, le 1 janvier 2001

Notre avis sur One shot

Voilà un album étrange. A première vue, c’est un genre de défouloir quand on feuillette l’album. On y trouve un tueur à gages, un agent du gouvernement sexy, un monstre et un petit homme.
Ils vont être amenés à se battre à cause de leur but ou de leur façon de vivre. Le tueur à gages a une mission à remplir. L’agent est habituée à suivre la loi, le monstre veut changer et devenir normal, le petit homme n’avait rien demandé et ne veut avoir aucune responsabilité.

Mais sous cette illusion d’histoire complètement "éclatée", Latil en profite pour poser des questions sur l’écologie, le pouvoir, les responsabilités, la liberté, … mais sans forcément apporter de réponses toutes faites comme semblent attendre certains des personnages, comme leur explique Gand. C’est donc au lecteur de trouver ses propres réponses aux questions posées dans l’album.

Le dessin de Parrillo est lui aussi particulier. Ses personnages ont un look "spécial". Cela leur convient très bien, mais on ne peut pas vraiment dire qu’il soit très réaliste à la différence des décors et aux couleurs assez sombres. Cela ajoute encore au contraste et donne une ambiance assez lourde qui convient bien à ce monde presque post apocalyptique.

Par Fef, le 15 août 2006

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