ORPHELINS
War Pigs
Ringo, dit Le Pistolero, que l’on croyait mort lors du crash sur cette planète maudite, a vaincu Rey en duel. Profitant du vaisseau de son ennemi, et ayant appris la vérité sur la réalité de cette guerre, Ringo revient vers la base où il espère bien régler ses comptes avec Juric. Il ne prévient pas ses coéquipers. Juric a quand même prévu une réception pour accueillir le Pistolero…
Par berthold, le 21 mars 2016
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Scénariste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782344010389
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Notre avis sur ORPHELINS #4 – War Pigs
Franchement : cet album est vraiment excellent ! Et à chaque tome, l’intérêt du lecteur progresse. On est à chaque fois surpris par la richesse de cette saga. Le scénario est vraiment très bon.
Cela faisait un moment qu’un album ne m’avait pas mis dans cet état ! J’ai hâte de découvrir la suite dès la dernière page tournée. Ce quatrième tome est encore bien meilleur que ce à quoi je m’attendais.
Les auteurs n’arrêtent pas de nous offrir rebondissement sur rebondissement, coup de théâtre sur coup de théâtre ! C’est assez impressionnant !
Dans ce tome, nous découvrons un nouveau pan du passé de la formation des Orphelins, ainsi que de nouveaux secrets sur certains personnages et l’une de leur premières missions, l’une des plus difficiles où ils se révèlent, surtout Ringo qui est mis en avant dans ce tome, avec son retour et sa vengeance. Mais son plan ne se déroule pas vraiment comme il le pensait…
Je vous laisse la surprise de découvrir ce qui va se passer dans ce tome. Après cela, il nous tarde de lire la suite pour voir ce qui va se passer dorénavant !
Graphiquement, le travail des artistes italiens est toujours aussi efficace. C’est propre, c’est clean, c’est rythmé, c’est tout simplement étonnant et par moment, assez spectaculaire !
Ce tome est aussi très violent. Il est à l’image de la scène d’ouverture, mais ce n’est pas une violence gratuite, elle est nécessaire au récit.
Ce quatrième volet prouve encore une fois qu’il est bon de miser sur cette série qui risque de devenir vite culte et un modèle du genre !
A ne pas louper !
Par BERTHOLD, le 21 mars 2016