PEACE MAKER KUROGANE
Tome 1
Dans un Japon féodal fragilisé par la montée en puissance de certains clans, la sécurité de la capitale impériale est assurée par un groupe de samouraïs d’élite, le Shinsengumi.
Tetsu vient d’y être admis, à seulement 15 ans. Il souhaite ardemment devenir un combattant d’élite et venger la mort de son père. Lui et ses compagnons vont bientôt faire la connaissance d’un homme au comportement étonnant qui vient d’arriver à Kyoto. Il possède une arme à feu et s’exprime parfois dans un langage mystérieux. L’étranger ne va pas manquer de les intriguer, et plus encore quand ils vont découvrir qu’il aurait connu un homme appelé le « Peacemaker ».
Par legoffe, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2351002957
Notre avis sur PEACE MAKER KUROGANE #1 – Tome 1
Voici la suite de la série Peace Maker. A nouveau cycle, nouveau nom : Kurogane. Vous allez retrouver les principaux personnages du précédent, comme Tetsu, maintenant membre à part entière du Shinsengumi, ou Hijikata, son maître.
Il y a aussi de nouvelles recrues dans l’histoire, comme Hajime Saito, guerrier mystérieux car doté de certains pouvoirs de divination. Et puis, il y a cet homme bizarre, visiblement étranger, qui fait tout de suite penser à un cow-boy, avec son pistolet. L’anachronisme est saisissant avec le monde des Samouraïs, comme si le genre « western » s’était invité à la table. C’est étonnant mais ça passe finalement assez bien.
Plusieurs intrigues se mettent donc en place dans ce premier tome. Je vous conseillerai bien sûr de lire d’abord la première série mais ce n’est pas obligatoire non plus pour entamer ce nouveau cycle.
Il y a pas mal d’action tout au long du livre et l’arrivée de plusieurs personnages clés ayant chacun leurs propres objectifs (que nous ne connaissons pas pour l’heure) devrait ménager un bon suspense dans les tomes à venir. Dommage simplement que les dessins et les découpages ne soient pas toujours très clairs, cela rend parfois la lecture compliquée. Une série qui s’annonce pour le moins honnête, pour les amateurs du genre.
Par Legoffe, le 17 octobre 2007
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