Pern d’Ambre
Un échange commercial entre le seigneur Dervall et des représentants du pays d’Antalis est brutalement interrompu par Pern d’Ambre, un espion/assassin venant de Sildride le pays suzerain de Dervall. Apres une nuit passée avec la femme du capitaine de la garde de Lan Drada, la capitale, il est appelé par Amilnoran, un magicien conseiller du roi.
Amildaran a besoin de lui pour protéger le roi Aldarin qui se trouve avec ses diplomates en Fandrill pour fêter l’alliance des contrées-unies. Il va voir Mitros qui sait à peu prêt tous ce qui se passe dans cette cité. Mais en entrant chez lui, il découvre son ami assassiné avant d’être lui aussi attaqué.
Par fef, le 1 janvier 2001
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
Collection s :
-
Genre s :
-
Sortie :
-
ISBN :
291371479X
Publicité
Notre avis sur Pern d’Ambre
Encore une série d’heroic fantasy. Oui, c’est vrai, mais celle ci a quelque chose de différent. Pour une fois le héros ne doit pas sauver le monde. C’est bien agréable de voir une histoire d’espionnage dans un monde fantastique, car cela change énormément la personnalité des personnages. Ils ne sont pas remplis de bons sentiments.
Le héros suit les ordres d’un conseiller et doit trouver qui veut tuer son roi. Au fur et à mesure de la lecture, cela m’a rappelé l’assassin royal de Robin Hobb, une très bonne série de roman d’heroic fantasy. Bien que les histoires soit assez différentes ont y retrouve le même style d’ambiance.
Il y a aussi plein de petits détails qui font que cela rend encore plus ‘vrai’. Le passage ou Pern va voir Celsius l’alchimiste, une sorte de Q pour James Bond, qui lui fournit des fers a cheval magique et un liquide inflammable quand on le crache.
Le dessin est assez particulier, j’ai l’impression que l’on a un mélange de dessin en couleur directe retravaillé à l’ordinateur ou d’un dessin sans encrage qui est fini à la palette graphique. Cela me rappelle un peu le seigneur d’ombre de Dim D. Comme souvent pour ce style de dessin, je trouve que cela donne un dessin un peu froid et figé. Mais cet effet s’estompe rapidement et on rentre bien dans l’histoire.
Cet album est présenté comme une histoire complète. J’espère qu’il y aura d’autres albums car certains éléments du début de celui-ci peuvent être un fil rouge d’une série composée d’histoires indépendante comme celle ci.
Par Fef, le 12 septembre 2005