PETITS HOMMES (LES)
Le peuple des abysses

Renaud, Lapaille et Lapoutre, nos trois héros récurrents des petits hommes, se retrouvent bien malgré eux les hôtes du peuple des abysses, et apprennent le pourquoi des disparitions récurrentes dans le triangle du diable. Car le peuple des abysses a beau avoir des siècles d’avance sur la technologie des grands, ils ont néanmoins un problème de taille du au fait qu’ils sont pacifiques, la défense, contre leurs ennemis de toujours, les hommes poissons. C’est pour cela qu’ils enlèvent régulièrement des « grands », afin d’apprendre comment ils réussissent à se défendre de leurs envahisseurs. (Il faut bien avouer que dans les domaines non pacifiques, les grands en connaissent un rayon)…
Les hommes poissons étant bien décidés à attaquer le peuple des abysses, il va falloir trouver une solution à cet épineux problème….

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Scénariste :

MITTEÏ
dessinateur :

SERON
Coloriste :

Leonardo VITTORIO
Éditeur :

DUPUIS
Sortie :

janvier 1980
ISBN :

2800106808

Notre avis sur PETITS HOMMES (LES) #10 – Le peuple des abysses

La deuxième partie de cette aventure ne déçoit pas du tout. L’explication des enlèvements (qui est en fait donnée brièvement à la fin du précédent tome) est tout à fait cohérente, et permet à l’histoire d’avoir de bonnes assisses. Au passage, le mystère de l’Atlantide, des disparitions, et de tout le reste est éclairci, et je trouve que l’idée est vraiment originale. Décidément, le concept des petits hommes peut vraiment être exploité pour de multiples faits réels et donner des histoires passionnantes.
Niveau scénario donc, rien à redire, c’est cohérent, agréable et passionnant à lire, on en redemande une tranche sans caler. Niveau dessin, le peuple des abysses est un peu un mélange entre les corses d’Astérix, et les Incas, et je trouve que c’est très sympathiques, en plus d’être plutôt amusant à regarder ;o) C’est toujours aussi soigné, et décidément Séron maîtrise son sujet, et son univers. Que vous dire de plus, sinon vous conseiller de lire cet ouvrage sans plus attendre.

Par Siam l'Archiviste, le 5 mai 2004