PETITS HOMMES (LES)
Des petits hommes au brontoxique
Le docteur Hondegger est comme d’habitude en train de mettre au point de nouvelles formules, toujours plus abracadabrantes les unes que les autres, seulement voilà aujourd’hui, il a réussi à trouver une formule pour se rendre étirable à volonté, grand ou petit, au choix, et bien sur toutes les tailles intermédiaires.
Heureusement, Renaud le persuade a raison d’abandonner son produit, et de détruire ses recherches, car ce serait trop dangereux si elles tombaient entre de mauvaises mains. Bien malgré lui, le docteur décide donc de détruire ses travaux, mais ne peut résister a l’envie de faire des derniers tests pour le plaisir. Seulement voilà, il ne sait pas qu’un espion malchanceux est en train de l’observer, et que cet espion décide de faire tourner la chance à son avantage. Il enlève donc le professeur pour la ramener dans son pays, le Brontoxique…
Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2800103469
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Notre avis sur PETITS HOMMES (LES) #2 – Des petits hommes au brontoxique
Comment dériver une histoire d’espionnage qui aurait pu être classique si elle s’était déroulée avec des grands … C’est le cas ici, l’histoire aurait été bien ennuyeuse s’il n’y avait pas les petits hommes dans la partie. Et on ne s’ennuie pas avec eux, entre répliques bien senties, humour léger et remarques fort à propos, l’histoire tient debout sans aucune béquille. Le dessin est toujours aussi vif et précis, et le scénario est plaisant, avec une histoire dont la morale est très juste.
Avec ce deuxième opus, la série se consolide dans ses bases, et l’univers s’enrichit petit à petit (sans mauvais jeu de mot ;o)). Nous apprenons à connaître les personnages, les caractères de certains petits hommes récurent de l’oeuvre, et surtout nous commençons à nous attacher à tout ce petit monde (décidément, je ne fais pas exprès avec les petits, c’est plus fort que moi…).
Je ne sais pas vous, mais d’une, soit vous connaissez déjà et vous aimez cette série, ou alors vous ne connaissez pas, et vous loupez quelque chose je vous le garantie. Bien entendu, il ne faut pas perdre de vue que le dessin et les couleurs sont assez dans l’esprit de ce que se faisait dans les années 80 et avant, mais à vrai dire, on ne ressent que peu de décalage et c’est plutôt plaisant d’avoir des bouffées de nostalgie comme sur cette série de Séron. Recommandé une nouvelle fois.
Par Siam l'Archiviste, le 20 avril 2004
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