LES PIEDS NICKELES
Sous-mariniers
Après avoir essayé de truander un notaire et embarqué son tiroir-caisse, les Pieds Nickelés n’ont pas d’autre solution que de fuir à bord d’un sous-marin expérimental étranger.
Pris en chasse par une armada de bâtiments de guerre, ils arrivent à sauver leurs pognes grâce à une particularité secrète du sous-marin.
Suite à la mise à sec des touristes embarqués dans cette épopée épique, ils échouent sur une plage écossaise où l’accueil des autochtones n’est pas des plus chaleureux.
Par phibes, le 1 janvier 2001
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
_200704241
Notre avis sur PIEDS NICKELES (LES) #84 – Sous-mariniers
Floc ! fait le nez d’un gendarme recevant un magistral coup de poing ; Ploc ! fait le menton d’un autre rencontrant durement un 45 fillette à crampons ; Plaf ! font les dents de leur collègue cognant malencontreusement un sol trop haut. C’est dans ce langage imagé qu’évoluent nos trois joyeux compères inséparables qui ne sont pas loin de toucher le fonds et qui doivent, une fois de plus, éviter la maison Poulaga.
Pour la circonstance, la fuite est dans le sous-marin comme la sardine est dans l’huile. Pourtant, me direz-vous, est sous-marinier qui peut. C’est le cas de Filochard qui dans sa prime jeunesse, au temps de son service militaire, a touché du bout des doigts les commandes d’un submersible.
De fait, les Pieds Nickelés n’hésitent pas à se « mouiller » en s’emparant de l’engin flottant d’un genre très particulier pour fuir la maréchaussée et toute une kyrielle de navires de guerre. Nous sommes au bord de la 3ème guerre mondiale. ;-))
C’est dans un style très délié proche du délire que Pellos et Montaubert nous entraînent dans une aventure folle qui a la seule prétention de nous détendre les zygomatiques. Les gags sont énormes et les ficelles aussi grosses que des cordages de bateaux. Cela a pour effet d’accentuer le comique des différentes situations.
Les auteurs jouent également sur la naïveté des gogos que croisent nos triplés fantaisistes qui se font un honneur de plumer hardiment.
Un pur divertissement délirant !
Par Phibes, le 25 avril 2007
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