POMPOKO
Volume 3
Force est de constater pour les tanukis que la vie est de plus en plus difficile, que leur espace vital diminue à vue d’œil, que la nourriture manque et qu’ils sont de plus en plus nombreux.
Il va falloir trouver une réelle solution. Après de multiples discussions, ils en référent aux anciens et c’est ainsi qu’en l’automne de la 33ème année de l’ère Pompoko, une grande assemblée réunissant les trois anciens de Shikoku eut lieu.
Le plan de bataille se mit en marche et les tanukis redoublèrent d’efforts. C’est ainsi que naquit une des plus mémorables fêtes avec la grande parade des monstres. Les habitants ne sont pas prêts d’oublier ce qu’ils virent cette nuit là.
Par MARIE, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Univers :
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Sortie :
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ISBN :
2723456029
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Notre avis sur POMPOKO #3 – Volume 3
Le troisième opus de la série « Pompoko » tirée du film de Takahata et réalisée par le studio Ghibli pour Glénat, vient de sortir en librairie. La conception graphique est toujours aussi soignée et le choix des vignettes, riche, permet d’apporter un arrêt sur image confortable que nous n’avons pas au visionnage de l’animation. Nous perdons le son mais gagnons le ralenti.
C’est grâce à ce système que nous voyons passer, en tout petit, au beau milieu des tanukis quelques autres personnages de l’univers Ghibli.
Les pages 92 et 93 sont assez bien servies avec l’apparition de l’avion à hélice rouge de Porco Rosso, de la très douce Kiki la petite sorcière sur son balai, de l’incontournable Totoro, ou encore Taeko enfant, l’héroïne de Omohide Poroporo (Souvenirs goutte à goutte).
Mais les clins d’œil et autres références ne se limitent pas à Ghibli et ainsi, les premières pages font appel au jeu Super Mario Bross ou encore l’arrivée des « anciens » qui fait tellement penser aux fameux « Zz top » !
Ce volume est éclatant, très drôle, et montre tout le génie de Takahata, son imaginaire débordant et son âme d’enfant. Si ce n’est pas déjà fait, plongez dans cette histoire sans hésiter, l’évasion est garantie.
Par MARIE, le 26 octobre 2006
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