PRINCE DU TENNIS
Tome 7
Contre toute attente, le collège Fudômine atteint les quarts de finale pour leur première participation au championnat de Tokyo. Leur objectif est d’affronter les joueurs de « Seigaku ». Néanmoins, le chemin est encore long jusqu’à la finale et le collège Seishungakuen doit, tout d’abord, éliminer les représentants du collège Saint-Rudolph pour espérer pouvoir relever le défi de Fudômine.
Les premières parties opposent les équipes de double : Momoshiro Takeshi / Kaidô Kaoru contre Kisarazu Atsushi / Yanagisawa Shinya, et, Kikumaru Eiji / Ôishi Shûichiro contre Kaneda Ichirô / Akazawa Yoshirô. Leurs échanges sont intenses et les équipes ont du mal à se départager. Le capitaine de St-Rudolph a, en effet, minutieusement étudié les caractéristiques des représentants de « Seigaku » et a préparé ses équipes en conséquence. Echizen Ryôma et ses co-équipiers vont donc devoir faire preuve d’inventivité s’ils ne veulent quitter le tournoi.
Par KOMORI, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2871299153
Notre avis sur PRINCE DU TENNIS #7 – Tome 7
Après le foot, le base-ball, le foot américain, voilà le tennis.
Pour ce qui est du style choisi, ce titre respecte les canons du genre : parties décortiquées sur plusieurs volumes, jeunes espoirs de la discipline en pleine ascension. Bref, des exploits sportifs nekketsu. Rien de bien original, par conséquent, dans le scénario. Le récit est, en revanche, un peu poussif : le texte surenchérit sur la case comme si le dessin ne se suffisait pas à lui-même. Le tout n’est pas très flatteur pour le lecteur, qui a soudain la sensation d’être légèrement blond ! On peut aussi regretter l’invention de noms savants pour rendre plus piquants les coups de tennis : on découvre ainsi le service kické (et pourtant il ne shoote pas dans la balle), le moon volley (nom poétique pour ce qui ressemble à un lob).
Le dessin reste honorable : le trait est fin, les effets de vitesse et la retranscription des échanges intéressants.
Un titre réservé à un jeune public ou aux nostalgiques du genre Capitaine Tsubasa.
Par KOMORI, le 14 mai 2006
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