PRINCESS JELLYFISH
Tome 4
Nouvel épisode de Princess Jellyfish, cette comédie moderne, incisive et hilarante sur les "geekettes", truffée de références à la pop culture nippone et mondiale… Tandis que Tsukimi révèle un vrai talent de créatrice de mode, Inari la renarde manipule toujours autant Shû ! Le secret de Kuranosuke court un grand danger. Réussira-t-il à le préserver ?
Par boukrou, le 14 juin 2012
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782756026459
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Notre avis sur PRINCESS JELLYFISH #4 – Tome 4
C’est en commençant à écrire mon avis sur ce quatrième opus que je me suis rendu compte que j’avais loupé un tome. Heureusement, rien qui n’empêche la compréhension à tel point que je vous dis, je ne m’en suis pas rendu compte; à se demander si le volume précédent avec un quelconque intérêt !
Dans ce nouvel opus de Princess Jellyfish, on met complètement de côté l’histoire de projet d’urbanisation menaçant la résidence Amamizu pour apprécier la nouvelle passion de Kuranosuke : la confection de robes. Il a de grandes ambitions et le souvenir de sa mère l’y aide beaucoup. Tout le monde met la main à la pâte pour faire un premier essai de robe avec comme modèle, vous vous en doutez, une méduse ! Les dessins de Tsukimi sont donc mis à contribution. De fil en aiguille, l’identité de Kuranosuke se trouve menacé et, sans trop vous en dévoiler, cette partie vous fera très probablement esquisser quelques sourires.
Au delà de tout ça, on continue de découvrir, en même temps qu’elle d’ailleurs, les différents sentiments et émotions de Tsukimi. Et la chose n’est pas simple ! Le triangle amoureux continue de se complexifier de par la relation entre les protagonistes et même si l’aboutissement peut paraître évident, la façon d’y accéder beaucoup moins.
C’est donc avec plaisir qu’on retrouve toujours autant d’humour dans ce nouveau tome avec un petit plus notable car en effet, j’ai trouvé les émotions plus et mieux retranscrites que dans les tomes précédents. Cette série commence donc à devenir vraiment intéressante pour son côté divertissant et décalé mais sans pour autant être transcendante sur un quelque autre aspect que ce soit.
Par boukrou, le 14 juin 2012