PSYCHOMETER EIJI
Psychometrer Eiji

Le tome 25 de cette série marque un tournant dans la lutte contre le crime de nos héros : Eiji est un lycéen plutôt rebelle qui a la particularité de pouvoir lire les résidus de mémoire laissés par les individus sur les objets qu’ils touchent. Un talent précieux qui n’a pas échappé à l’inspecteur Shima qui a donc recruté Eiji pour traquer les tueurs en série et autres déjantés. Ce volume marque la résurrection de l’ex petit ami de Shima, censé être mort mais qui tentait, en fait, de déjouer un complot de grande envergure visant à renverser l’état. La police serait impliquée et ils ne peuvent se fier à personne. Leur ancien équipier a déjà payé de sa vie sa trop grande curiosité. Les anciens amants rassemblent donc une petite équipe pour mener ce nouveau combat. Ils pressentent la présence d’une vieille connaissance au QI aussi développé que son manque d’humanité derrière tout ceci : Apple. Vont-ils enfin pouvoir l’empêcher de nuire?

Par KOMORI, le 1 janvier 2001

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Scénariste :

Yûma ANDÔ
dessinateur :

Masashi ASAKI
Éditeur :

KANA
Collection s :

DarkKana
Genre s :

Policier
Sortie :

février 2006
ISBN :

2871299013

Notre avis sur PSYCHOMETER EIJI #25 – Psychometrer Eiji

Ce manga est un classique du genre policier. Les personnages sont soignés, même si le style n’est pas dans le courant réaliste et si le trio majeur est assez classique : une femme inspecteur, sexy, au fort caractère ; un lycéen tête brûlée et attiré par son aînée ; et pour finir, un taré proche du cerveau de usual suspects.
Les arrières plans sont, en revanche, minimalistes dans ce volume. La part belle est faite aux gros plans. Il est vrai que cela aide à poser l’état d’esprit des individus, mais, dans le même temps, le recours à ce support est un peu systématique. Le scénario est solide et l’intrigue bien amenée, notamment par le choix du découpage.
Ce tome confirme ce qui transparaissait dans les précédents volumes : des histoires de tordus en premier plan cachant une machination de plus grande ampleur.
Agréable.

Par KOMORI, le 2 mars 2006